Description:

Une si belle journée sans les cours qui semble d'être intéressante, j'étais en dehors de l'université , j'avais encore quelques donnés à récupéré dans le Quartier-Sud. Je n'aimais pas cet endroit, plusieurs raisons, c'était le point de rendez-vous aux personnes de mauvaise volonté et que justement, ils sont agressif, autant ne pas faire de mal aux idiots.

Mise à part cela, ma position actuel est les bas fonds du quartier, mon téléphone portable avait un problème de connexion, sans doutes la perturbation magnétique de la zone ? Marchant légèrement vers l'avant, je faisais attention dans les recoins si une personne était voyant, malheureusement...Aucun. J'ai donc , fais ma marche , essayant de comprendre la cause du problème de mon portable et le fait que je dois récupéré mes fameuses donnés. Aller, on va continuer la marche.

Toujours le même problème... Qu'est ce que j'attendais encore ? Foutu journée...
Me suis levé ce matin, et pendant 1 minute, j'ai pété la forme, sans me souvenir de maladie.
Puis, j'ai réfléchi 5 secondes, et me suis rendu compte que je rêvais éveillé.
Chose qui m'était arrivé 6 fois maintenant que j'étais Seraph.
Du coup, une fois levé, j'ai eu la grosse déception, et déprime pour le reste de la journée.
J'avais fais quelques petits combats avec Blackbird, et avait été si mauvais que j'avais pris plus de coup en moins de temps que pour mon premier jour. Après quoi, partis chasser des ombres, l'un d'elle m'a sévèrement blessé, et j'ai du rentrer me soigner au qg des Seraphs, et je suis un peu trop voyant pour me permettre de faire des allers-retours entre quartier sud et QG.
Grrm.
Journée pourrite...
Une seconde !
Mais... J’aperçois un fou, là bas !

- Dîtes ! Hé ! Excusez moi ? Vous êtes totalement malade ou quoi ?

A mesure que je parle, je m'approche de plus en plus de mon interlocuteur.

- Vous voulez vous faire tuer ? Rangez votre portable !

Tranquille ! Portable en main, marchant nonchalamment dans la rue...

- Si vous voulez vous suicider, faîtes un nœud coulant de votre ceinture, et accroché le à la poutre maîtresse chez vous !

J'arrive à son niveau. Tiens ! Oups ! Mon manteau est ouvert ! Normal qu'elle sente une odeur...
Au fait...
Si elle est pas en train de gerber par terre en se tenant le ventre...
Ça veut dire qu'elle est pas humaine...

- Seraph ou Nephil ?

J'en profite pour refermer mon manteau faisant ainsi disparaître l'odeur, puis répétait ma question :

- Alors, Seraph ou Nephil ? Au fait, pour le portable... Dans un quartier aussi mal fréquenté que celui-ci, il est déconseillé de se balader avec des objets précieux dans les mains. Donc...

Je souris sous mon masque

- C'était amical.

- Seraph aussi.

Coup de pot, j'aurai pus tomber sur un nephil psychopathe qui se serait jeté sur moi.

- Je m'appelle William. Et vous ?

Je donnais bien vite des infos sur moi... Bon, en fait, je pense pas qu'elle veuille me tuer, donc être prudent ne rime à rien.

- Salutations, Mario Traydor !

Je m'apprête à lui demander si elle s'est nommée ainsi en référence au plombier moustachu, mais je me retiens. Un peu de décence, tout de même !

- Ce que je fais ici ?

Je laisse une échapper un petit rire.

- Mais j'habite ici ! Enfin, j'habite... Je dors sous les ponts.

Ouais, j'ai pas vraiment de maison, en fait. Je suis SDF...
Je souris sous mon masque, attendant la réaction de Mario face à cette révélation.

J'ai l'impression de ne pas lui avoir fais grande impression. Hm. Mouais. Peut-être un peu moins jovial.
Bon, apparemment, je ne la dégoute pas du fait de ma condition. Heureusement que j'ai mon manteau et que je ne pue pas, sinon, je pense qu'elle m'aurait fui depuis longtemps.
Elle semble prise au dépourvu par ma réaction, aussi, elle enchaîne et change de sujet. Intéressant.

- Je peux essayer de vous aider, oui. Mais sinon, je ne sais pas pour quel raison votre portable est ainsi floué. Mais autrement, pourquoi êtes vous là, vous même ?

Et j'attends sa réponse, tout sourire. Sous mon masque.

(Désolé du retard et le fait qui sera court =3 La prochaine sera normale))

Mhh....Il ne sait pas pourquoi en quoi il y'a une zone magnétique ? J'aurai conclu que cela fut la faute des ombres...mais, ils attaquent les humains . DONC , sauf si ce sont des ombres geek ? Enfin enfin... Je le regardais en me posant une question, c'était tout à fait normal de me la poser...La raison que je suis ici ? Mais, je viens de le dire..Dans les grandes lignes. Je vais simplement lui répondre .

Je fais du touriste, en gros. Et justement, voulant prendre des photos numérique , il y'a eu des interférences magnétique ou du genre..

- Hé bien... En attendant que vous ne trouviez la source de ce qui vous gêne, puis-je vous convier à un frugal repas ? Je préfère vous prévenir de suite, je n'ai pas beaucoup d'argent.

Du tourisme... Nan mais j'vous jure... Dans la partie la plus mal famée, la plus moche et la plus dangereuse de Pamela... Est-elle donc inconsciente ?

- Je ne vois pas pour quelle raison il y aurait eut des interférences magnétiques. Si vous voulez, après avoir manger, nous nous mettrons en quête du producteur d'interférences.

Et d'un geste, je désigne un petit bar pas loin, quasiment vide, l'invitant à me suivre.

Spoiler:

C'était prévisible qu'il me croyait pas, enfin..Vous le voyez pas ? Les deux premiers mots qu'il dit est presque décevant ! Enfin bref..Il laisse couler donc, tant mieux pour ma part. Je suis sur qu'il ne comprenait pas la technologie. Il me propose à un repas, sans doutes que sera moi qui va payer vu que c'est un SDF. Et par les heureux hasard, j'ai faim donc.. Autant prendre un petit repas. J'avais fais un geste du bras gauche en guise de réponse.



Je suis d'accord..Si vous avez un lieu de repas, je vais vous suivre.


À peine que j'avais fini de répondre, il interrompu avec les doutes de ma raison d'ici pour ensuite proposer son aide . Tant mieux je dirai.. Une personne de plus qui connait cet section est une bonne économie de temps. En le voyant pointer la direction d'un petit bar qui est légèrement loin, bon.. Répondant à ma phrase avant, je vais simplement le suivre.

Nous arrivons tout deux au niveau du bar, ou je prends une table à deux places. Je hèle ensuite un serveur, et lui commande un sandwich. Je lance un regard interrogateur à Mario, attendant sa propre commande. Une fois les plats amenez, je commence à questionner la jeune femme.

- Vous avez une idée sur ce qui provoque ces interférences ?

Pour aller quelque part, il nous faut bien une piste... Je parie qu'elle n'en a pas.

- Pensez vous que ça puisse être à cause des ombres ?

Il faut étudier toutes les possibilités...

Spoiler:

Je hausse un sourcil. Forme humaine ? Il n'en a jamais vus...

- Oui, elles sont humanoïde, mais elles n'ont rien d'humain. Ce sont... Des ombres.*

Je le vois réglé l'addition. Merci bien, ce n'est pas à moi de la payer... Je mangerai demain. Le sandwich dans la main, je soulève légèrement le masque et mord dans le pain. Délicieux... Je savoure un instant cette bouchée.

- En fait, j'en sais assez peu sur les ombres. J'en ai combattu quelques-unes. Vous n'avez pas un joujou pour détecter la source des interférences ?

Je fronce les sourcils. Si bien sûr que je le sais.

- Non, les ombres ont une forme humanoïde. Je le sais. Mais elles sont étranges. Vous verrez.

J'observe ce qu'il fais, pendant ce temps.

- Concrètement, vous êtes en train de faire quoi ?

Apparemment, c'est une sorte de hacker. Ouais, ça doit être ça.

- Tant que j'y suis, c'est quoi votre pouvoir ?

Il m'a carrément snobbé. Hmhm. Pas très poli. Mais soit. C'est son secret. Du coup, j'enchaîne sur autre chose.
Un pouvoir d'altération ?7

- Un pouvoir d'altération ? Je ne comprends pas très bien... Voudrez-vous bien éclairé ma lanterne ?

Bien sûr, je connais le sens d'altération. Mais, ça peut s'appliquer à pas mal de choses. La structure moléculaire des seraphs et nephils est altéré. Les kekkaïs créer un monde altéré et alterné. Les fous vois les choses de manière altérés. On vois les dirigeants à l'télé. Ho, attendez... Je commence à penser n'importe quoi.
Altérer un pouvoir... L'amplifier, en quelque sorte ? Bon, apparemment, il ne souhaite pas en parler... C'est son choix. Je vais changer de sujet.

- Comment vous êtes vous retrouvé Seraph, au fait ?

Je vois clairement qu'il me cache des choses : c'est évident. Mais c'est son choix.

- Hmm... D'accord.

Il transparait clairement que je comprends ce qu'il ne veut pas me dire, son stress est tout à fait visible...

- Et bien, je vous suis ! Où allons nous ?

Je hoche la tête. Bon, j'ai rien compris, mais sous le masque, ça se voit pas. Ha. Un téléphone. Donc, c'est une sorte de fil d'Ariane... J'ai saisis l'idée.

- Je suis prêt à me battre. Guidez moi.

C'est un ordre amical : j'espère qu'elle ne le prendra pas mal. Nous commençons à suivre la piste : je suis derrière Mario, continuant à la suivre pas à pas : qu'allons nous découvrir ?

Je plisse les yeux, au moment où on débouche tout les deux sur l'endroit... Il n'y à rien.

- Allez-y, éteignez le... Non, en fait, gardez le ouvert ! Approchez le de l'huile, par terre... C'est le seul élément présent.

Je me plie sur mes jambes, et je précède Mario, qui s'approche de la flaque. Nous la fixons tout deux... Pas de mouvements.
Et soudain...
Je capte un bruit dans mon dos, et un millième de seconde avant que ça me touche, je m'écarte juste à temps : une ombre vient de me sauter dessus, et je baisse les yeux sur la griffe plantée dans mon bras. Instantanément, mon collège réagis et tue la bête : mais déjà d'autres ombres viennent de sortir du tas de ce qui semble être du pétrole; mais ça n'en est certainement pas.

- Hmmm... Plus de peur que de mal. La blessure est très superficiel, mais il faudra désinfecter.

Je jette un regard hautain sur les ombres. Celles là, ce sont des petites... Facile ! Je me remet en garde, puis je commence à décrire des mouvements tournant autour des deux trucs... Au fait ! La troisième à l'air plus dangereuse : je place mon lien dessus. Je retire mon manteau - j'ai tellement fais ce geste qu'il devient très simple à exécuter. Je fais tournoyer mes deux petites faucilles à mon côté, puis je mette sur la première et donne un coup sur son flanc, tandis que de l'autre, je me prépare à recevoir une riposte de l'un ou de l'autre.

Spoiler:

Je vais devoir faire un petit tour à l'infirmerie, après ça. Les deux petits trucs ne m'ont pas fais du bien. Je dois me concentrer sur le plus gros... C'est le plus dangereux. Mais celui-ci me jette un regard haineux et me repousse d'un coup de griffe, je dérape et me rattrape à grand peine. Je suis exposé et en mauvaise posture... Soudainement, je sens comme une immense bouffée d'énergie en moi, une poussée d'adrénaline : mes bras sont porteurs de mort, désormais. Il a une odeur de magie dans l'air...Je n'ai pas le temps de jeter un coup d'oeil à Mario, déjà le monstre se rejette sur moi. Mais je sais quoi faire. Je me dérobe et le laisse se vautrer, avant de le cueillir d'un coup de faucille vers la tête, ce qui l'entame sérieusement : le lien le ralentit et l'attaque.

Je fixais l'immonde créature au sol, puis d'un mouvement de main, je la décapitais. Mario n'avait pas l'air d'être au meilleur de sa forme... Je l'observais rapidement puis... L'huile !
Vite, je me dépêchais de m'approcher des conteneurs, et les ouvrais. Ce que nous trouvâmes alors nous surpris tout les deux.
Dans ses petites cales, il y avait un immense système électronique, qui communiquait entre eux : un super-ordinateur.

- Qu'est ce que c'est ?

- N... !

Je tends la main, prêt à empêcher la destruction de Mario... Mais trop tard. C'est déjà fais. Nous ne saurons jamais ce qui était à l'intérieur. Raaaaah... Je soupire.

- Et bien, nous ne saurons jamais ce qui se cachait derrière ça.

Bon. Mission accompli.

- Vous avez encore des interférences ? Tout me semble finis.

J'attends sa réponse, puis, après un silence, je me permet une nouvelle question :

- Ce que vous m'avez fait, tout à l'heure... C'était votre pouvoir, pas vrai ?

- Vous m'avez.. Boosté, moi et mon arme. Rendu plus fort.

Mon regard se reporte sur les caissons.

- Hé ! A votre avis, qu'y a-t-il la dedans ?

Je lui jette un regard amusé, et puis m'écarte et m'incline :

- A vous l'honneur.