Spoiler:

9 heures du matin au campus de la fac, plusieurs voiture de police y stationnaient. Akiro arriva par la porte avec le salut de plusieurs agent. Quelque étudiants sont écarté du dortoirs des filles pour éviter de fausser la scène de crime. L'inspecteur arriva a la chambre ou eu lieu l’atrocité. Il remarqua sur la porte qu'il y est écrit : Chambre d'Eva Thomson, puis il tourna sa tête a l’intérieur de la pièce. Deux personnes, un homme et une femme, nu, morts sur le lit. Le légiste examina les corps tandis que la police scientifique récupéra différente preuve de la scène. Il remarqua une grande inscription sur le mur "ILS ONT QU'A MOURIR CES ENFOIRÉS !. Le légiste remarqua Akiro.

Ah ! Bonjour Inspecteur, je présume que vous voulais ce que je vous dise ce que j'ai trouvé sur ces pauvres enfants.

Le jeune homme hocha simplement la tête pour accepté.

J'estime l'heure du crime a 23h30, le jeune homme a reçu deux balles de pistolet dans le dos, il est mort sur le coup. Quand a mademoiselle, elle c'est prit une balle a droite du front, morte également sur le coup.

Le jeune homme salua le légiste et sorti de la pièce

*Si il y a eu des coups de feu, ces voisines on forcément du entendre, il faut que je les retrouves.*

Akiro sorti des dortoirs et compté aller voir les étudiants au salle de cours. Il se dirigea vers les salles de cours, quand il vit une femme essayé de rentré par une fenêtre il hurla quelque mots bref.

Vous la ! Que faites vous içi ?!



HRP : Quand j'écris entre étoile, c'est qu'Akiro est en train de le pensé ^^

C'était alors qu'elle venait de finir ses deux heures de siestes quotidiennes, tôt le matin, que son employeur l'appela en toute urgence. Il y avait la possibilité d'avoir un scoop impressionnant si elle se dépêchait de partir sur le Campus. La fille ainée y avait passé la nuit et avait été témoin d'une scène de panique le matin quand une scène macabre avait été découverte. C'était une sacré opportunité et c'est ainsi qu'elle partit immédiatement.

En ce moment, il y avait assez peu de nouvelles intéressantes et il fallait qu'elle fasse un article attirant plus le spectateur qu'une éloge dithyrambique d'une entreprise. Quoi de mieux qu'un meurtre dans une fac pour cela! Plus l'histoire serait sordide, plus les gens seraient interessé. Juliet souhaitait donc un terrible drame amoureux où un amant déçu aurait décidé de faire de son ex de la viande hachée.

Malheureusement, en arrivant sur la Fac, la police était déjà là. Qui dit Police dit impossibilité de passer et ce même avec son tout nouveau passe. Convaincre un Policier risquait d'être difficile, alors autant profiter de faire le tour du bâtiment et d'entrer par une fenêtre. Alors qu'elle pensait entrer tranquillement dans un des couloirs pour ensuite se faufiler, quelqu'un lui aboya dessus. Au vue de sa dégaine, ce n'était nullement le concierge. Elle pouvait toujours tenter de se faire passer pour une étudiante? Non, sans sac ce n'était pas crédible même si sa carte lui permettait.

- "Je suis entrain de rentrer de manière strictement légale dans bâtiment ouvert" se défendit Juliet en finissant son entrée. "J'ai du travail à faire, un travail très sérieux qui pourrait aider la police, alors je vous retourne la question : Qui êtes-vous et que faites-vous? Car je n'ai pas le temps de discuter"

Juliet avait prit une expression très sérieuse. Autant se faire passer pour quelqu'un qui voulait aider la police, ce qui n'était pas totalement faux. Elle jaugea la personne en face d'elle. Il n'avait pas l'air d'être le genre de personne à plaisanter, alors autant continuer sur son idée

Le jeune homme analysa rapidement la jeune femme, le jeune homme se méfia de Juliet a cause de la tenue qu'elle portait, il sais que les étudiants peuvent porter des tenue extraverti, néanmoins, il ce méfia tout de même de la personne.

Je suis l'inspecteur Ivalis, du commissariat de Palema, et je fais mon travail, résoudre des meurtres. Puis, l'accès au dortoirs est interdit pour la journée donc vous n'avez aucune raison d'être ici.

Akiro se rapprocha de Juliet pour être a quelque mètres d'elle.

Dans ce cas j'ai une question a vous posé si vous vivez ici. Avez vous entendu des coups de feu et si oui, quand ?

Ivalis était un inspecteur, local et il voulait résoudre des meurtres : le compagnon parfait pour le petit travail de Juliet. Par contre, il ne semblait pas aimer la rigolade et préférait probablement de faire les choses 'correctement'. Il s’arrêta à quelque mètres d'elle et lui demanda si elle avait des informations. La journaliste sourit, peut-être qu'elle pourrait négocier de travailler avec.

- "Je ne vis pas ici, mais j'ai des contacts qui pourraient aider à résoudre l'affaire. Je sais à qui parler et que leur dire. Par contre, il faut comprendre que je fais également mon travail et que je ne peux pas vous donner ces informations sans rien en échange. Voyez vous, je veux vraiment que l'on puisse arrêter le meurtrier et surtout y participer" dit-elle tout en s'approchant de Akiro "Je suis journaliste, l'information est mon travail et je peux vous être très utile. J'ai une longue liste d'informations et surtout les gens ne se méfient pas de moi. Voici ce que je propose : je vous accompagnes et vous aide au mieux de mes capacités, bien entendu je ne dirais aucune informations confidientielles"

C'était direct, comme à son habitude. Elle espérait que l'inspecteur apprécierait son interêt et son envie de trouver le meurtrier. Ses raisons n'étaient certes pas des plus nobles, mais c'est le but qui compte après tout

Juliet était une journaliste, ça tombe mal, il aimé pas vraiment ces fouineurs qui gène durant les enquêtes, néanmoins elle peut aidé a résoudre. Lorsqu'elle se rapprocha, elle proposa de l'accompagné et de l'aidé pour cette enquête. Sans que tout cela sois gratuit bien évidement.

Vous êtes donc une journaliste et non une étudiante, vous savez si c'était un autre de mes collègues vous seriez déjà menotté et prête à partir dans une de ces voitures. Mais je pense que vous seriez plus utile sur le terrain. Vos informateurs pourrait nous aidé a trouvé le coupable. En échange de votre aide .. Je vous laisserai la total exclusivité de l'affaire. Des questions ?

Akiro exprima que Juliet devait se sentir chanceuse de ne pas se faire embarquer. Elle n'avait aucune peur de ça, pour le moment elle ne faisait rien d'illégal et ferait un scandale si elle se faisait embarquer. Mais heureusement, l'inspecteur était plus intelligent que ça et proposa directement le marché que Juliet voulait.

- "Parfait, je vois que vous êtes très compétents comme inspecteur. Vous ne serez pas déçu de ce partenariat, vous verrez" dit-elle en prenant son carnet et commençant à écrire "Alors nous devrions aller interroger Mademoiselle Martin, Brigitte Martin, elle est en deuxième année d'étude en droit et est actuellement dans la salle A342."

Juliet regarda autour d'elle et pointa une direction.

- "Alors, normalement c'est par là-bas. J'ai son emploi du temps et, avant que vous ne le demandiez, c'est une amie, fille d'un collègue. Au passage, pourriez-vous me parler un peu de l'affaire? C'est un meurtre passionnel?"

Si cela avait été un suicide, la Police n'aurait pas apporté un tel dispositif. Un meurtre 'par accident' est assez peu fréquent dans les campus universitaires, alors il ne restait plus grand chose que le meurtre passionnel ou le meurtre par interêt.

Le jeune homme sortit une cigarette et l'alluma tout en partant en direction en direction du bâtiment principal, en compagnie de sa partenaire provisoire.

Je l'ignore, tout pourrait faire croire a un meurtre passionnel, mais j'ai un doute a propos de ça, j'ai plus l’impression que cela fait parti d'une mise en scène. Mademoiselle Thomson et Mr Evans sortait ensemble depuis plus de 6 mois d'après les témoignages de certain de leur camarade. Ils étaient tout deux apprécié dans l’établissement, et aucun de ces deux la n'avait de cassier judiciaire. *Soupir pour sortir la fumée de ces poumons* Je suis sur d'une chose, l'assassin est une femme.

Akiro éteint la cigarette et rentra en premier dans le bâtiment, tout en laissant la porte ouverte a Juliet. Le forum de la Faculté étant généralement animé, fut tout simplement en deuil, pas un bruit régné dans les couloirs.

Il y avait donc deux victimes, un couple. Ils étaient sensé être apprécié et n'avaient ni problème judiciaires ni problèmes scolaires. C'était donc des gens normaux, sans passé sale ou de mauvaise manie... officiellement. Akiro estima que c'était une femme l'assassin, curieux. Juliet imaginait plutôt que les femmes tuaient de manière plus fine que des coups de feux, préférant les morts aux poisons. Enfin, toutes les femmes n'étaient pas comme ça et peut-être que c'était sur une du genre qu'ils allaient tomber. La journaliste écrivait tout avec plaisir.

- "Une mise en scène? Dans quel but et pourquoi l'assassin serait une femme? Est-ce qu'elle serait du campus donc, seul moyen pour qu'elle puisse accéder pendant la nuit?" demanda-t'elle tout en le suivant.

Les couloirs étaient très calmes et le duo se dirigeait vers la salle où se trouvait Brigitte. Ils marchèrent quelques minutes avant d'arriver devant la salle de cours.

- "Vous préférez interrompre le cours ou on attend la pause pour interroger Brigitte Martin?"

Je vais vous expliquez ma théorie du faites que le criminel est une femme, lorsque les coups de feu on eu lieu, les agents de sécurité arriva quelque instant plus tard, aux dortoirs des femmes. Donc ils auraient forcément du voir la personne sortir si elle voulait s'enfuir. Ensuite, personne n'a pu sortir du dortoirs, en attendant la police. Lorsque mes collègue arriva sur les lieux ...

Au beau milieu de sa phrase, l'inspecteur compris son erreur, il prit son téléphone, et écrivit rapidement un sms a un de ces subordonné, avec un grand sourire sur le visage. Lorsqu'il arriva devant la salle, il n'écouta pas sa partenaire et ouvrit la porte

Bonjour a vous monsieurs dames, je me présente, Inspecteur Akiro Ivalis, je suis a la recherche de Brigitte Martin.

L'inspecteur expliqua son raisonnement et s'interrompit. Visiblement, il avait compris quelque chose sur l'affaire. Bien que son explication soit crédible, cela n'empêchait pas que ce soit un garçon qui se soit gaché. Il devait bien y avoir une raison pourquoi le couple s'était retrouvé ensemble et donc le dortoir n'était pas fermé aux garçons. Mais elle allait partager son idée plus tard, pour le moment, c'est l'heure de l'interrogatoire.

La professeur sursauta en voyant l'inspecteur rentrer, elle semblait tendue et réussir à donner un cours dans un contexte pareil. Une jeune fille, dépassant tout juste le mètre 60 se leva timidement.

- "C-c-c'est moi" dit-elle en s'approchant. Elle avait rapidement compris

Juliet sourit, la pauvre fillette semblait terrorisée. Brigitte était noiraude, avec de long cheveux lui couvrant un peu le visage. Elle était très fine et marchait très délicatement, presque comme flottant au dessus du sol. Elle s'approcha de Akiro

- "Bonjour Inspecteur et Salut Juliet... Je, j'ai entendus quelques trucs... "

- "Salut Brigitte, t'en fais pas. Il est pas méchant l'inspecteur Akiro" dit-elle avnat de se tourner vers Akiro "Je propose que l'on aille dans une salle pas loin pour que vous puissiez poser toutes vos questions"

A l'arrivé de Brigitte, l'inspecteur de s'attendait pas à une tel personne, il faisait peur a la jeune femme, Akiro fit un signe de la tête pour qu'on le suive. Ils arrivèrent a une salle de classe vide, montra d'un signe de la main de s’asseoir sur une chaise, et posa un dictaphone a la table la plus proche

Bon, comme vous le savez deux de vos camarades sont retrouvé mort dans la chambre d'Eva Thomson. et son Petit copain Ethan Evans. Premièrement, a quel heure avais vous entendu les coups de feu ? Deuxièmement, avait vous entendu diverse rumeur concernent les victimes et troisièmement, avait vous remarquez des choses bizarre venant d'un des gardes de nuit ?

La jeune étudiante s'assit. Bien qu'impressionnée par l'inspecteur, elle semblait rassurée par la présence de Juliet. Au moins, elle savait que Akiro était quelqu'un de confiance. Elle avait d'ailleurs toujours eu une confiance aveugle en la journaliste qui avait toujours été gentille avec elle. Brigitte écouta attentivement puis resta silencieuse, le temps de réfléchir. Juliet, bien entendu, allait tout noter.

- "Alors euh... Si je me trompe pas, j'ai été réveillé vers 23h00 ou minuit. J'ai pas compris tout de suite ce que c'était. Je croyais que c'était des conduites d'eau ou quelqu'un qui tapait contre les murs. Y a eu 3 ou 4 bruit. Après, je me suis recouché et c'est là qu'il y a eu quelqu'un qui a crié et c'était la panique! J'ai... J'ai heureusement pas vu les corps" dit-elle en frissonnant "Mais on m'a dit que c'était terrifiant"

Brigitte trembla un peu et Juliet s'approcha, l'entourant gentiment d'un bras rassurant.

- "Tout va bien, on est là pour pas que ça arrive. L'inspecteur est un champion à cela"

Brigitte sourit un peu et répondit aux 2 autres questions d'Akiro

- "Il y avait des rumeurs sur Eva, mais moi je pense que c'était car elle était très jolie et que des gens étaient jaloux. Surtout que Ethan était pas très populaire, il aimait beaucoup parler de lui et de sa copine, en disant à quel point ils étaient parfait et tout... Moi ça me dérangeait pas trop, je les voyais pas souvent de toutes façon. Mais les gens s'en plaignaient. Oh et les rumeurs s'était surtout sur le fait qu'Eva couchait avec tel ou tel garçon. Et pour les gardiens de nuit... " dit-elle en réfléchissant "Y a bien un qui est un peu bizarre. On l'appelle Pornstache, car il a la même moustache que dans une série. On dit qu'il a été retrouvé une fois entrain de fouiller les commodes d'une fille et de renifler ses sous-vêtements"

Juliet sourit, nostalgique de toutes ces rumeurs. La belle époque où elle avait des informations sur tout le monde et qu'elle pouvait souffler le chaud et le froid sur les gens. Elle se rappela également, avec moins de plaisir, la tristesse de ses parents quand ils avaient tout appris. Ca lui avait un peu pincé le coeur, mais pas trop.

La journaliste finit d'écrire dans son calepin et regarda Akiro, allait il directement sauter sur le coupable évident?

Le jeune homme prit un sourire simple pour rassuré Brigitte. Il coupa le dictaphone et le rangea dans sa poche intérieur. Il ouvrit la porte.

Merci de ton Brigitte, grâce a toi l’enquête va bien avancé, désolé du dérangement, tu peux retourné en cours.

Au même moment, un petit bruit de jazz retentit de sa poche, son téléphone sonna, un de ces subordonné l’appela en faisant des hum, puis il raccrocha. Il sortit de la pièce en direction des vestiaires des gardiens. Arrivant la bas, il trouva 3 de ces subordonné avec des pinces pour ouvrir les cadenas. Dans un des vestiaires il trouva un Smith et Wesson 9mm et un pot de peinture rouge, il y avait aussi quelque cliché d'étudiantes, et même de la lingeries. Toute les pièces s'assemblait, le faite que personne ne trouvé suspect de voir un gardien de nuit sur les lieux du crime. Akiro prit des gants, et mit dans une pochette l'arme et la donna a ces subordonnés. Il ferma le cassier pour voir le nom de la personne : Angus Maver.

Convoqué moi ce type je le veux ici, faite lui croire que c'est pour avoir son témoignage de ce qu'il a vue.

Brigitte partit rapidement, elle avait perdu un peu de temps pour ses cours mais ses amies lui avaient probablement prit des notes. Elle remercia la patience de Akiro et salua Juliet. Au même moment, l'inspecteur reçut un appel téléphonique et exigea de faire venir immédiatement le prévenu, le Pornstache. Est-ce que l'enquête serait si simple? Un simple pervers qui aurait tuer des gens? Non, c'était pas logique. Probablement qu'il préférait se soulager sur les culottes des femmes plutôt que de leur coller du plomb dans la tête.

Juliet avait noté toutes ses idées sur papier. Si elle n'était pas d'accord avec le résultat de l'inspecteur, elle irait faire sa propre enquête puis pointerait l'incapacité des forces de l'ordre. Ça intéresse beaucoup, beaucoup les foules ce genre d'histoires. Elle le suivit comme une ombre, le laissant faire ses affaires de policier. Elle resta même un peu plus loin de la scène, pour ne pas contaminer.

- "Vous pensez que ce pornstache est coupable du meurtre? Sans vouloir mettre en doute votre jugement, un pervers n'assassine pas généralement les gens. Ils les suivent, parfois même les violent, mais les tuer, surtout comme ça... Ce n'est pas un peu gros? Sans compter que personne ne l'aime, donc c'est un bouc émissaire facile"

Les collègues d'Akiro étaient partit à la recherche du dénommé Angus. Le temps passa lentement, visiblement il était dur à trouver. On appela Akiro après 10 minutes, il y avait un problème avec Pornstache

L'inspecteur écouta les dirent de Juliet, il s'assois sur une chaise, posa ces coudes sur ces jambes et ces mains, croisé, sur sa bouche et réfléchit, elle avait totalement raison, il y avait quelque chose qui coincé dans cette affaire. C'était beaucoup trop facile, l'affaire accusé Angus Maver qui devait surement être Pornstache. En effet, il était en service, ce soir la. Néanmoins il n'y a aucune preuve de sa présence sur les lieux du crime. Et si c'était quelqu'un d'autre, une autre personne qu'il avait les clés de son cassier, ça pourrait être le cas, il faut attendre les vérification d'empreinte de l'arme du crime. Après ces quelque minutes de reflexion, Akiro répondit a Juliet.

C'est vrai, c'est justement ça le problème, ce genre de personne ne tue pas, ils veulent plus gardé leur trophée pour eux, sans vraiment leur faire de mal. Eve a du lui faire des compliments, donc il a pu ce faire des idées, mais tue, c'est impossible. Mais mon problème c'est cette peinture rouge, comment un gardien de nuit peut être discret avec ça ... Cette enquête est plus intéressante que je le pensais.

Durant ça réflexion, Angus Maver. C'étais un homme chauve, d'environ 50 ans, faisant a peine plus d'un mètre 75, il avait quelque peu des problème de surpoids, arriva au vestiaire, l'air complètement déprimé, les yeux rouges et tremblant, le jeune homme remarqua rapidement qu'il ne l'avait pas tué, il l'aimait. D'une voix tremblotante Angus ouvrit la parole

Vous ... Vous ... Avez trouvé le tueur ...

Il ce leva de sa chaise et s'approcha de porté d'Angus

On vous a surement déjà posé cette question mais ou étiez vous le jour du meurtre, et aussi une autre chose, quelqu'un avait t'il vos clé de cadenas pour votre cassier ?

Le gardien hésita quelque instant puis ce lança

Lors des coups de feu ... *tremblement* J'étais au bâtiment a coté du ... Ba ... Ba ... Bâtiment des hommes pour ... Pour ... Pour  évité que des intrus entre. Et pour les clés ... Les cadenas je ne sais pas ... j'ai perdu mes clés ... j'ai prévenu mon supérieur hier matin ...

Un des policier répliqua ce moment la

Ce matin Monsieur Jenkins nous avez dit qu'aucune perte d'affaire a était signalé auprès des gardiens ! Pourquoi nous aurez t'il menti ?

Akiro fit les cents pas, plusieurs théorie lui viendrez en tête avec juste une information supplémentaire. Pourquoi aurai t'il menti, que ce lui rapporterai de dire ça ... Ça parole est plus importante que Angus, donc on croirait lui et non Angus. Il se tourna vers Juliet.

Et si elle le faisait chanté ...

Juliet était content que l'inspecteur soit d'accord avec elle, bien que cela signifie que la police ne ferait pas d'erreur. Le fameux pornstache arriva et... soit il jouait bien la comédie soit c'était l'être le plus triste à regarder. Le témoignage était intéressant, l'homme se retenait de fondre en larme devant tout le monde. Pauvre Angus, probablement que les Ombres comptaient lui tourner autour désormais. Faudrait penser à aller le surveiller de temps en temps. Dans tout les cas, il avait perdu ses clés officiellement. Un certain Jenkins avait pourtant dit le contraire.

- "Je ne vois pas à quoi vous voulez en venir. Qui ferait chanter qui? La meurtrière? Vous pensez donc toujours que c'est une femme. Si vous pensez cela, il va falloir non seulement interroger Monsieur Jenkins mais chercher dans son entourage. Est-ce qu'il a une fille dans l'établissement ou peut-être a-t'il eu des relations avec une élève?"

Juliet sourit, si il y avait une relation de la sorte, c'était jackpot. Quelle belle journée, elle avait bien fait de venir en courant!

Non. Vous n'avez pas écouté ce qu'a dit votre amie ? Il y avait certaine rumeur sur mademoiselle Thomson. En effet elle couché un peu avec tout le monde, et si mademoiselle Thomson faisait chanté monsieur Jenkins. En effet, une règle de cette établissement interdit ce genre de relation. Puis, elle était mineur. Et si elle le faisait chanté, sous peine de le dénoncé a la police ? Ce n'ai pas tout a propos de cette théorie, un homme avec la mentalité de monsieur Maver, n'a pas le droit d'acheté d'arme. Donc pourquoi il aurai une arme dans ce cassier, surtout qu'il n'était pas dans les lieux. Et surtout ça ! *Montre la peinture rouge du doigt* Pourquoi monsieur Maver aurai écrit ce genre de chose sur la scène de crime, en effet il avait un amour obsessionnel mais pas au point de marqué ça.

Son téléphone vibra il regarda son message et prit un grand sourire avant de ce déplacé rapidement au bureau de Jenkins, le conseillé d'éducation de l'établissement et également l'homme qui s'occupé du personnel de l'établissement. Le CE, était en train pleine réunion. Surpris de voir autant d'homme   de la sécurité.

MAIS ! MAIS QUE FAITES VOUS ICI, VOUS N'AVEZ PAS LE DROIT.

J'ai tout les droit avec un mandat de perquisition. maintenant, vous me laissez fouillé votre bureau, d'ailleurs, on a retrouvé votre arme, dans le cassier de monsieur Maver.

Mais ... Mais ...

L'inspecteur mit des gants en latex et fouilla tout le bureau, et trouva une enveloppe. Il l'ouvrit et trouvé des clichés. Et il les montra a tout le monde et surtout a monsieur Jenkins

C'est fou, la pédophilie n'est pas censé être interdit ?

Monsieur Jenkins et devenu tout pale et essaya de sortir de son bureau mais fut rapidement maîtrisé par les policiers dans le bureau en hurlant qu'elle n'avait pas le droit faire ça et qu'elle le mérité. Akiro sortit une paire de menotte de sa poche et lui attacha au dos

Richard Jenkins, vous êtes en état d'arrestation pour le meutre d'Eva Thomson et D'Ethan Evans. Le meurtre n'est jamais parfait. *Il regarda ces subordonné* Embarqué moi ce type. *Puis ce retourna voir Juliet qui était en dehors du bureau.* Vous voulez encore l'exclusivité ?

Juliet l'écouta. Elle n'avait pas pensé effectivement au meurtre simplement pour couvrir un autre crime. C'était très idiot de la part de Jenkins, mais brillant de la part de Akiro. Elle allait d'ailleurs commenter là dessus mais visiblement, il était temps d'aller coffrer le coupable. La journaliste sprinta à la suite de l'inspecteur, la suite allait être très amusante.

Juliet écrivit absolument tout ce qui fut dit entre la police et le sale pervers. C'était très amusant de le voir se décomposer alors que les clichés pédophile furent montrés. Jenkins fut rapidement arrêté malgré ses jérémiades. Dommage que Juliet n'avait pas apporté son caméscope, ça aurait fait fureur sur Youtube.

Akiro, qui venait de finir de menotter l'homme, interpella Juliet

- "Et comment Inspecteur, c'était très intéressant! Et vous savez quoi, en ce moment la police n'a pas trop la côte dans la ville, que diriez-vous que je vous renvois l’ascenseur et donc que je vous présente vous ou vos collègues sous un angle plutôt positif. En tout cas, félicitation pour votre affaire. Juste une question, est-ce que vous savez si Jenkins avait forcé Thomson ou si elle l'avait séduit pour le faire chanter?"

Le jeune homme montra un petit sourire en coin avant de prendre un visage plus sérieux.

Je préfère que vous montrez ces hommes *montra ces subordonnés d'un petit mouvement de tête* Ce sont ces hommes qui ont fait la plus grosse partit du travail, moi je ne suis seulement la pour mettre le puzzle en place. Et pour répondre a votre question, seul mademoiselle Thomson connait la réponse, mais je pense que c'est Jenkins la forcé. Bon c'est le moment des adieux, j'ai était très heureux de travaillé avec vous Juliet Hopkins, et je serai très impatient de lire votre article. Mais j'ai du travail qui m'attend et un long rapport à faire.

Le jeune homme partit en direction de la sorti en levant le bras droit pour dire au revoir.

Akiro était modeste en plus, il lui manquait plus qu'être Nephil et il serait le flic parfait. Bien que ce genre de personne était sympathique, c'était également ceux qui posaient le plus de problème en général à Juliet. Certe, cette fois, c'était bien passé, mais qui sait.

- "Très bien Inspecteur Ivalis, je montrerais vos hommes comme les talenteuses personnes qu'ils sont. Oh et si jamais vous voulez d'une journaliste dans vos pattes, contactez le Wake Up Palema, je viendrais avec plaisir. Une fois que l'on m'a testé, on ne peut plus se passer de moi" dit-elle en riant

Juliet partit ensuite dans un coin tranquille de l'université en attendant la sortie de Brigitte, elle allait probablement avoir des informations supplémentaires, et avoir besoin de soutien moral.

[The End, ce fut un plaisir]