Rue du Cloaque:

A sa sortie du magasin, deux hommes dévisagèrent la jeune femme. Sentant l'inconnue dans ces lieux, et la proie facile, ils s'avancèrent vers elle. Son sang ne fit qu'un tour, palissant son visage de peur. Elle avait beau posséder une arme, elle n'eut absolument pas la présence d'esprit de la sortir pour les viser. Elle n'allait pas tuer des humains ! Et ils étaient deux ! La solution qui vint à elle fut la fuite.

Elle glissa sur le sol sale et se mit à courir en quatrième vitesse, serrant l'arme contre elle. Quelle imbécile. Capable de viser un sac de sable, mais certainement pas deux hommes qui lui courraient après.

Elle tourna le coin de la ruelle pour atterrir dans une rue plus vaste, et jeta un coup d’œil derrière elle pour voir si elle courrait plus vite qu'eux. Ce fut la raison pour laquelle elle percuta de plein fouet un objet situé sur son chemin, et atterrit sur les fesses derrière un gros bidon vide.

Elle s'attendait à voir quelqu'un ou un lampadaire, quelque chose du genre, mais non. C'était une surface verte et longue, qui allait jusqu'à des hauteurs impossibles. C'était ça qu'elle avait percutée. Qu'est-ce qu'était cette chose ? Comment était-elle apparue ? Elle avait surgit de nulle part, et englobait une petite zone de la rue. Elle posa sa main contre : solide. Elle saurait plus tard que cette chose s'appelait un kekkaï.
Les hommes ! Lenna se retourna d'un bloc, effrayée. Mais il n'y avait personne. Plus personne nulle part... Ils s'étaient volatilisés comme la population de la rue.

Ah si là bas ! A plusieurs mètres d'elle deux silhouettes humaines en encadrait une troisième assez sombre. Lenna plissa les yeux, qu'est-ce que c'était... Serait-ce une Ombre ? Oh ! Oui c'en était une ! Elle s'empressa de se dissimuler derrière son bidon, espérant que les deux autres humains en feraient leur affaire. Il suffisait qu'elle ne bouge pas, et personne ne la verrait.

Personne ne l'avait encore vu, et c'était tant mieux d'ailleurs. Elle allait faire en sorte de ne pas se faire remarquer, priant pour que ce cauchemar se termine.

Spoiler:

personne a la maison a la maison c'est le moment de faire un tour chez David. Je me demande ce qu'il se passe la bàs. Je prend kyu je me maquille un peu et j'enfile une robe souple que j'ai acheter il y a pas longtemps.

robe:

Comme a mon habitude je cours un peu partout dans la ville et passe dans les petits chemins pour allez au contre Goliath le plus rapidement possible.arrivé dans une rue je remarque une ombre elle été pas comme celle du parc celle la avait l'air un peu plus forte je dirais elle me regarde avec ses yeux vide  elle faisait peur a voir je voulait partir mais j'ai très vite compris qu'il été trop tard sans la lâcher des yeux  je fais un bisous a Kyu

Part chez David va voir Famas

il court pour aller chez David comme je lui est dit c'est bien je ne veux pas le perdre il sera en sécurité la bas.
je fais apparaître mon arme et mon kekaï en forme de Kyu j'enfile mon gant en cuir. J’espère qu'il y a du monde autour pour m'aider. A peine que j'ai fini de déroulé mon arme que le monstre cri. d'autre ombres arrive ayant la forme de celle du parc la grosse saute sur les toit et s'enfuit. Je ressens des gens qui veulent venir dans le kekaï je les autorises. Pourvu qu'il arrive vite.

je regarde autour de moi il se sont déjà rapproché il été 3. je commence a faire des rond sur moi même et les fouetter avec mon arme elles ont reçu aucune blessures; elle en l'air agacer et saute toute les trois en même temps sur moi. Je tend mes fils pour qu'il me protège du mieux qu'ils peuvent

ombre:

Ce fut une journée plutôt longue pour Johnny. Depuis ce matin, le cowboy n'arrete pas de courir après les Ombres. De poursuite en poursuite, il finit par atterir dans le quartier. Johnny essayait d'éviter le Quartier Sud autant qu'il pouvait, sauf en cas de force majeur. Et la présence d'Ombre compte comme tel.

Alors que notre cyclope s'apprête à rentrer chez lui, un Kekkaï l'emprisonna. On dirait qu'un autre chasseur d'Ombres était dans le coin. Johnny chercha le responsable et tomba alors sur ce qu'il semblait être un groupe de quatre Ombres, dont une plus grande et plus imposante que les autres. Il remarqua après la présence d'une jeune fille aux cheveux verts qui tenait tête aux Ombres. Probablement celle qui a invoqué le Kekkaï. Il ne remarqua cependant pas encore la présence d'une seconde femme, car cette dernière se trouvait dans un angle mort; tout comme les Ombres ne l'ont pas encore remarqué

Profitant de l'effet de surprise, Johnny matérialisa son fusil de sniper, se mis en joue, et attenda le bon moment avant de faire feu.

Le monde devenait fou. Complétement fou. Dos à son bidon, elle sortit l'arme de son sac et la chargea au maximum. Revolver en main, elle glissa un oeil à ce qu'il se déroulait dans la rue. Un homme venait de faire apparaitre un énorme fusil comme par magie, et une femme plutôt frêle sortait des fils de son gant et en fouettait l'air autour d'ombres nouvelles. Elles étaient désormais quatre à menacer les deux humains qui leur faisaient face.

Oui, elle était en train de devenir folle. Peut-être que si elle fermait les yeux, l'hallucination cesserait. Non. Ils étaient toujours là. Elle ne pouvait pas fuir non plus, en tout cas pas de ce côté.
Elle se redressa et regarda au-dessus du tonneau pour voir jusqu'où s'étendait le mur vert. Non, il fermait tout. Elle était bien coincée.

Seulement sa petite manœuvre ne passa pas inaperçue. Une petite ombre tourna la tête dans sa direction et s'extirpa du combat en se dirigeant vers elle brusquement. Oh, oh...
Lenna se redressa, mais fut stoppé par le mur vert dans son dos. Elle s'y appuya et visa l'ombre de son arme humaine. Elle tira, tira, tira et vida son chargeur. Un clic lui fit baisser l'arme et elle comprit le cas désespéré de sa situation. Deux grands yeux s'ouvrirent, horrifiés par le fait de voir l'ombre toujours intacte et s'approchant toujours d'elle à vitesse rapide.

C'est ce moment qu'elle choisit pour hurler de terreur. Elle hurla sa peur, sa rage et sa colère. Elle hurla la folie qui résidait encore au fond de son être depuis la perte de tous ses proches. Mais un cri n'arrête personne. Il ne fit qu'alerter toutes les ombres qui voulurent se diriger vers cette proie plus facile.

Elle lui jeta l'arme de 1500$ à la tête, qui ne fit que grogner la bête. Un prix pareil pour rien. Son instinct de survie se mit ensuite en route, et elle se mit à courir à toute allure.
Pas assez rapidement, puisque les griffes de l'ombres lui déchirèrent l'épaule gauche. Le coup la fit se cogner au mur du kekkai, et tomber à terre. Encore.

Elle se retourna face à l'ombre, fesse au sol. L'ombre de l'ombre recouvrait ses yeux. Elle n'avait plus de mot pour crier. Seulement l'espoir que quelqu'un la sorte de là.

[HRP : Attente d'un joueur supplémentaire]

je serre les dent prête a encaisser un coup je ferme les yeux tend mes fils et m'accroupie. Je n'ai pas reçu de coup que se passe t'il je regarde les ombre qui cours dans une direction j'entend des coups de feu. Je cours vers la ou j'ai entendu le cri je pousse deux ombre qui été sur mon chemin. Je sens une présence qui veut entré je la laisse rentrer. Si j’accélère je pourrais protéger la personne en danger

je cours du mieux que j'ai pu l'ombre attaque la femme qui ne m'a pas l'air inconnue ce qui me fit monté une rage intérieur. L'ombre aller achevé sa cible mais je lui est transpercé la tête a cou de gant

l'ombre se dissipa et Origan reconnaît Lenna

mince si elle est ici c'est a causse de moi

Que que fais tu ici Lenna c'est dangereux et comment ça se fait que tu vois les ombres tu devrais faire apparaître ton arme avant de mal finir mais ne t'inquiète pas je vais te protéger  

Je lui fait un sourire  une ombre profite de ma garde baisser pour me planté une de ses griffes dans mon ventre et elle a voulu me donner un coup a la tête après  je donne un coup fatal avant que cela ne se produit. Je me suis fait avoir facilement  

Facilement même plus je dirais aller a moi de jouer je vais tous les exterminés

Pas question que tu sortes. ça fait mal

je saigne du ventre et le combat ne fait que commencer je pose ma main gauche sur ma blessure et regarde les deux petite ombre foncer sur moi je garde un oeil sur lenna je ne voulais pas qu'elle soit   plus blesser par ma faute.
une des deux ombre saute pour m'attaquer tandis que l'autre plonge les mains groupé


je recule en sautant en arrière pour esquivé l'attaque du haut  j'attache les main de l'ombre avec mon arme et la jette sur l'autre  

ma blessure saigne de plus en plus  je ne sais pas si je pourrais protéger lenna

Lenna tu ne peut pas sortir d'ici ?  

l'ombre qui n'est pas attaché rattaque encore en sautant mais cette fois sur lenna je saute et place mon dos sur la trajectoire de l'attaque. Je protégerais lenna coûte que coûte

Je vous protégerais mademoiselle Lenna même si vous avez vu le chat aux longues oreilles je vous avez dit de faire attention mais on ne peut pas y échappée on dirait  

Une des ombres courra vers une troisième personne que Johnny n'avait pas encore remarqué remarqué. Heureusement, la fille aux cheveux verts réussit à la tuer en lui transperçant la tête avec son arme.

Que que fais tu ici Lenna c'est dangereux et comment ça se fait que tu vois les ombres tu devrais faire apparaître ton arme avant de mal finir mais ne t'inquiète pas je vais te protéger

"Tiens, on dirait que les deux se connaissent." pensa le Sniper.

Une deuxième ombre chargea sur les deux personnes et c'est la Loli qui pris tout dans les dents (ou plutôt, dans le ventre). Cette dernière riposta en tuant l'Ombre.

"Mais c'est pas le moment pour penser à des trucs pareils. Elle vient de se prendre un de ces coups. Vu tout le sang qui coule, je doute qu'elle puisse en contenir deuxième."

Toujours en joue, le cow-boy appuya sur la détente de son arme, qui ejecta la balle en direction de l'Ombre impossante qui chargeait les deux femmes.

Résultat du Dé 1:

Résultat du Dé 2:

Résultat du Dé 3/4/5:

Résultat du Dé 6:

Le membre 'Johnny Bloodfield' a effectué l'action suivante : Les joies du hasard

'Dé classique' :

Quelque chose transperça la tête de l'ombre qui se désintégra sous ses yeux. Qu'est-ce que... Elle s'arrêta net dans sa réflexion en reconnaissant la jeune fille qui lui avait rendu ses clefs une semaine plus tôt. Cet épisode lui semblait si lointain.

Apparaitre... mon arme ?

Elle ne comprenait rien à ce qu'elle lui racontait. Son arme elle l'avait balancée à la tête de l'ombre Elle ne pouvait pas en faire apparaitre une autre, juste comme ça, parce qu'elle lui demandait. Son sourire ne la rassurait pas le moins du monde, puisqu'elle peinait à analyser tout ce qui se passait autour d'elle. Son bras gouttait de sang, qui commençait à coller son sweet sur sa peau. Elle grimaça de douleur en voulant le bouger.
Mais déjà une autre ombre repassait à l'attaque, fendant le ventre d'Origan.
Horrifiée, mais comme paralysée, Lenna ne put que la regarder se défendre comme elle pouvait.

Sortir d'ici ? Non, elle ne pouvait pas. Le mur était trop solide. Et ses jambes refusaient de se mettre en mouvement. Elle restait par terre, assise, en appui sur son bras droit. Une autre des petites ombres se désintégra sous un coup d'Origan.

Je... j'ai... refusé le contrat de Kyu. Je t'ai - écouté.

Elle secoua la tête. Serait-ce à cause de lui qu'elle se trouvait désormais dans un tel cauchemar ? Les ombres fonçaient à nouveau sur elles.
Le bruit d'une balle la fit sursauter, et une ombre sembla chanceler, comme touchée. Mais de ce fait l'ombre s'approcha encore plus près d'elles, les menaçant de sa silhouette. L'autre tentait de se dégager les mains, enfin les griffes.

Origan était mal en point, il fallait qu'elle arrête d'être la cible passive et se défende. Mais avec ce mur vert complètement stupide elle était bloquée. Deux ombres devant elle. Quand on ne peut reculer il faut avancer ?
Les ombres avaient avait volte face en la voyant. Donc si elle-même partait, elles la suivrait non ?
Prise d'une folie suicidaire - il faut bien l'avouer - Lenna se redressa d'un bloc, sauta au-dessus d'Origan comme un saute-mouton et se mit à courir en hurlant vers la personne qui avait tiré.

AAAAAAAAAAAAAH !

Les deux ombres, surprises par ce revirement, ne firent que la griffer au passage, coupant cependant le souffle à la jeune femme qui n'avait jamais connue pareille douleur. Elle percuta un caillou, ou un trou, ou une branche, enfin quelque chose, et chuta violemment sur le sol, finissant d'écorcher ses jambes. Les deux ombres courraient plus vite, elles seraient bientôt sur elle. Même attachée, la petite s'acharnait à suivre la plus grande.

A ce moment-là, Lenna se crut perdue. Elle ramena ses jambes contre elle et se couvrit les yeux de ses mains pleines de gravillons. Si elle devait mourir maintenant, elle préférait ne pas voir sa Mort.

J'étais prête a subir un gros coup de la part de l'ombre dent serrée j'attend de pied ferme son coup. qui n'arriva jamais a la place un coup de feu. Elle vacille devant moi lenna qui saute au dessus de moi en criant. je n'avait pas compris la situation mon ventre saigné de partout j'ignore la voix dans ma tête.
j'ai voulu aidé lenna mais l'ombre été trop rapide et ma blessure me ralenti grandement. les pas que je fais sont lourd je criaa

Lenna court !

je ne pouvais pas l'aider.Je fais mon maximum je le jure ,et pourtant c'est au dessus de moi des larmes commence a sortir de mes yeux ,et c'est la que je vois David qui géra la situation comme la dernière fois qu'on été avec norella mais cette fois c'était des ombres. j'essuya mes yeux pour ne pas montrer que j'ai pleurer .

-"Qui parmi vous est Nephil et qui est Serpah? "

je leva ma main qui ne tient pas mon ventre et révoque le kekaï en même temps.

Je suis une seraph.Mais je ne peux pas montré ma marque . merci d'être venu David sans toi je n'aurais pas pu protéger Lenna .

J'étais fière de l'être mon ventre saigné beaucoup et pourtant je n'avais pas si mal . j'ai eu une idée qui pourrais être utile .

Origan utilise ses fils comme bandage ce qui marche particulièrement bien .

oui sa marche. Je m'approche de lenna pour lui demander.

Tu veux un bandage aussi ?  .Excuse moi c'est un peu de ma faute si  tu été rester coincé ici  .

Johnny était un peu perdu par ce qui vient de passer. Bon, l'Ombre a fini sa course sur le côté, ce qui a évité à la Loli d'être blessée une fois de trop par cette abomination. Ça, c'était clair. Mais pourquoi l'autre femme avait foncé dans la mélée, sans arme, sans même avoir utilisé son (ses) pouvoirs? Était-elle suicidaire? Et après, tout s'est passé très vite: le Néphil qui rentre dans le Kekkaï et qui tue les deux ombres restantes, même la plus grosse, aussi facilement qu'on se débarrasse d'une forêt un jour de canicule avec une boîte d'allumettes.

De ce que Johnny a entendu dans le lointain, la femme "suicidaire" n'était pas au courant pour les armes. Soit son recruteur a fait vraiment un travail baclé, soit y a quelque chose qui va pas.

Qui parmi vous est Nephil et qui est Serpah?

"Je suis Néphil" répondit le Sniper, ne voulant pas vraiment montrer sa marque. Un oeil perforé par balle, c'est pas vraiment une jolie chose à montrer.

Pour montrer son absence d'hostilité, il dématérialisa son arme, avant d'avancer vers le petit groupe. Un Sniper est plus que vulnérable au corps-à-corps. En s'approchant, il demanda au groupe:

"Est-ce que tout va bien? Pas de blessés trop graves?" avant de demander à Lenna "Pardon mais, pourquoi avez-vous foncé vers les Ombres sans arme? Ça aurait pu vraiment mal se finir."

Des bruits de coups et de balles retentissaient à ses oreilles. Rien cependant ne vint lui griffer le visage ou lui étriper les entrailles. Le calme planait alors à ses oreilles, et elle consentit à ouvrir les yeux, pour découvrir qu’elle était toujours vivante. La mort ne l’avait frôlé que par les griffures pronfondes à son épaule. Un homme à l’aspect familier vint l’aider à se relever, et Lenna lui tendit le bras droit intact pour faire appui. Les brumes de son esprit se dissipèrent quand elle entendit sa voix, reconnaissant le marchand vu quelques instants plus tôt. Cela lui semblait provenir d’un autre monde. Ses oreilles n’entendaient pas très bien, et tout lui paraissait sourd.

… les armes humaines… font rien

Elle posa sa main droite sur son épaule, l’enlevant aussitôt sous la douleur. Ses doigts étaient poisseux de sang et elle les dévisagea, incrédule. Les trois autres semblaient évoluer dans un lieu normal, comme s’ils prenaient le café. Qu’est-ce qui ne tournait pas rond dans ce monde ? Elle cligna des yeux et ses oreilles revinrent dans la réalité.

Qui parmi vous est Nephil et qui est Seraph?

Elle les regarda discuter, sans savoir de quoi ils parlaient. Nephil ? Seraph ? Qu’est-ce que c’était comme gang ça ? Le mur vert se volatilisa tout à coup, libérant l’espace, et provoquant un profond soulagement à la jeune femme. Origan lui adressa la parole, mais elle était trop choquée pour savoir ce qu’il fallait qu’elle lui réponde. L’autre homme fit disparaitre son arme comme par magie et lui posa une question. Pourquoi avait-elle fait ça ? Elle n’en savait trop rien, elle secoua la tête, haussa les épaules. Elle ne savait plus trop. Tout ce qu’elle savait c’était à quoi ressemblaient les ombres. Et cela lui avait foutu une peur panique qui n’arrivait pas à se décrocher de son esprit. Ces monstres… Ils pouvaient s’attaquer à elle n’importe quand. Chez elle. Au travail. Et s’ils n’avaient pas été là, elle serait morte. Cette prise de conscience, d’avoir frôlé la mort ainsi, apporta la réponse à une question qu’on lui avait posé ce matin dans une autre vie. Elle savait exactement de quoi elle avait besoin en ce moment. Ses genoux plièrent sous le poids des émotions trop lourdes qu’elle avait vécu ces dernières heures et ses yeux se perlèrent de buée.

Maudit chat, je sais ce que je vœu. Je… J’ai besoin… Je veux que Julien revienne. Maintenant.

L’esprit plus clair, peut-être aurait-elle laissée les morts reposer en paix et n’aurait sans doute pas voulu lui infliger le retour à la vie, mais c’était là un cri du cœur et la seule chose qui pouvait calmer ses angoisses. Le seul au monde qui la comprenait, l’aimait et était capable de la protéger. Des larmes silencieuses coulèrent le long de ses joues, y traçant un sillon dans la poussière qui s’y était accumulée. Elle croisa l’autre bras sur le premier, le corps sous la tension d’attente. Pouvait-on ressusciter les morts ?


[Hrp : je vous propose de poster chacun une fois en attendant l'arrivée du chat ?]

Une Seraph, un Nephil et une qui faisait seulement son voeu. Mais où est Bey? Ou Kyu? Pour l'instant, je remets tout ce monde dans mon Kekkaï, plus large que celui d'Origan, et pointe cette dernière de mon arme. Je ne compte pas hésiter contre un enfant cette fois-ci. Mais j'attends de savoir si ma cliente est également une Seraph avant de tirer. Mon regard est froid, calculateur, mon visage impassible. Pas de pitié, Shane n'en avait pas reçu. Les Seraphs sur mon chemin devront mourir.

[Hrp : Sachant que normalement, Kyu apparaît presque aussitôt, je ne peux pas faire plus.]

J'ai renvoyé mon gant car je ne pense plus en avoir besoins.

Origan regarde David avec un air des plus confus

Que se passe t'il monsieur David ? il y a plus de ces choses on peut arrêter maintenant.

Je sais se que c'est ! c'est une arme mais pourquoi vers moi ?

pourquoi vous pointez cette arme sur moi mr David ?

Le regard de David ce n'est pas du tout le même que d'habitude je commence a trembler. J'ai peur je veux m'enfuir.

Pourtant Origan ne bougea pas elle était terrifier.

Pas le temps de se reposer pour notre cyclope que les emmerdes se remettent en marche. Le Nephil qui avait sauvé tout le monde pointe maintenant son arme sur Origan. Mais Johnny ne l'entendait pas de cette oreille. Et comme il refusa de l'entendre de l'autre oreille, il courut et s'interposa entre la Seraph et le Nephil, avant de s'adresser à ce dernier:

"Wow wow wow! Qu'est-ce que tu est en train de faire? Tu crois pas que les Ombres font déjà assez de victimes comme ça?"

Lenna releva la tête, les genoux toujours au sol. Le marchand venait de pointer son arme sur Origan, et l'autre type s'interposait. Elle serra ses bras un peu plus contre elle, se disant que son voeu était judicieusement choisi. Ses protecteurs d'ombres se retournaient maintenant les uns contre les autres. Elle ne dit rien, se contentant d'observer la scène plus qu'insolite.

[HRP : attente du chat ]

Revoilà ce chat étrange aux longues oreilles, qui réussissait à traverser les murs verts. Il se posa devant elle le plus simplement du monde alors qu'un combat allait ne pas tarder à faire rage entre les nephils et seraphs présents. Et toujours cette tête qui penche. Cela la mettait étrangement mal à l'aise.

Oui, c'est ça.

Elle acquiesça de la tête pour appuyer ses propos, ayant encore du mal à réaliser que Julien allait lui revenir. Il pouvait réellement exaucer tous les vœux, et c'était assez impressionnant. Son corps se tenait sous tension, légèrement tremblant, dans l'attente de la réalisation de son rêve le plus cher.

Comme à votre habitude mr David vous me répondez pas . Pourquoi vous avez changer maintenant pourquoi vous voulez faire ça !

C'est la première fois que je le vois comme ça .

Quesque sa va vous rapportez !

mes Larmes coule je tombe a terre mes blessures commencent a faire mal.

Origan respire de plus en plus fort. Elle regarde David droit dans les yeux avec les larmes et sont regard Habituelle

Je me casse tu ne le sais pas mais tu es déjà morte

Je me sens légère ma tête ce n'est plus la même . Je souris une musique me vient je dois la chanter.

la musique :

des chats de gouttière sont invoqué dans le kekaï ils observent Origan

pendant que je chante mes yeux me font mal mes oreilles aussi je ne peux plus entendre ni voir es que je chante ? je pense que oui j'ai encore mes sensation dans le cou.

Origan chante encore mieux qu'a sont habitude ses parole japonaises sorte comme un ruisseau. sa maladie enpire et lui prend sa vue et son ouïe

Vais-je mourir ?
A la fin de sa chanson, Origan lève les bras et avance sans savoir ou aller, et prononce
Russel vient me chercher s'il te plaît .

Écarte-toi, l''ami'. Elles sont seraphs, et si tu ne te décales pas, je te ferai bouger de gré ou de force, ou je tirerai à travers ton corps. C'est à toi de choisir.

Johnny deumeura impassible. Pour lui, cette guerre ne faisait pas de sens. Quoique... si on réfléchi bien, une aucune guerre n'a jamais eu réellement de sens.

"Je suis borgne, pas sourd. J'ai très bien entendu. Mais tu vois pas qu'elle est déjà grievement blessée? Et puis, si tu voulais la tuer, pourquoi l'as-tu sauvée des Ombres?"

Le chat magique exauça son vœu en lui sautant dessus dans une grande lumière. Il aurait sans doute pu s’y prendre autrement tout de même, c’était tout de même assez intrusif comme méthode. Lenna faillit reculer, mais elle n’en eut pas le temps que déjà il lui annonçait que c’était fait. Suivi d’une phrase :

- Je te conseille de te rendre rapidement au cimetière où il se trouve afin de l'en sortir. Ce ne doit pas être un réveil très agréable pour lui.

… qui provoqua un électrochoc chez Lenna. Julien était revenu à la vie pour être coincé dans son box d’urne funéraire ? Il allait étouffer si elle ne le sortait pas de là rapidement. Son visage devint livide alors qu’elle prenait conscience de ce que tout cela impliquait. Indifférente aux dialogues, entre les deux nephils et Origan, ainsi que l'arrivée soudaine de tous ces chats, un seul objectif restait présent à son esprit : sauver Julien. Il était hors de question qu’il meurt à nouveau, elle ne le permettrait pas. Mue par l’amour, elle se redressa avec calme et dévisagea l’homme qui les bloquaient dans son mur vert.

Fais-moi sortir de là tout de suite. Il ne mourra pas encore, parce que tu me retiens ici !

Son œil tomba sur le pistolet qu’elle avait balancé à la tête de l’ombre. Il était déchargé, mais le marchand ne le savait pas. Dans un mouvement rapide elle se jeta dessus et l’empoigna. Prise d’une inspiration soudaine elle le pointa sur l’autre nephil qui protégeait Origan. Elle faisait un pari complètement fou, mais s’il disait vrai, il jouerait le jeu pour l’aider à s’en sortir, puisqu’il ne voulait pas la mort des seraphs. Elle répugnait à abandonner Origan dans cette situation, mais il lui faudrait faire confiance à l’autre nephil pour l’aider. On était dans la situation de Superman qui doit choisir entre sauver la ville ou sauver sa fiancée. Sauf qu’elle n’était pas Superman et qu’elle ne pouvait s’occuper que d’une personne à la fois. Personne ne se soucierait de Julien à part elle.

Fais-moi sortir, où je le descends. Je vise bien, c’est toi qui m’as appris.

Le vouvoiement avait disparu de son langage, concentrée qu’elle était dans sa tâche. Rien d’autre ne comptait à l’instant que les minutes qui défilaient et où Julien perdait peu à peu l’oxygène qu’il avait en réserve. Sa détermination était implacable, elle n’hésiterait pas l’ombre d’une seconde à faire ce qu’il fallait.

je ne voyais pu rien j'avance dans le noir. quand tout à coup je suis tombé mon corps ne voulais pu bouger .

Que quelqu'un m'aide j'ai mal

Des larmes de sang coule. Origan été en train de mourir David avait fait mouche

Je ne veux pas mourir snif que que quelqu'un m'aide s'il vous plaît

Origan ferme les yeux ce fut ses dernier mots

Johnny était pris entre deux feux (et c'est le cas de le dire). Mais il n'eut le temps de se rendre compte de rien, qu'une détonation retentit, suivie d'un bruit de chute d'un corps. Il ne pouvait plus rien pour la Seraph. "Et merde!"

Tu ferais mieux de te défendre et de la tuer si tu ne veux pas qu'elle le fasse en premier. Sauf si tu préfères que je m'en charge cette fois-ci.

Il est vrai que, en utilisant son pouvoir actif, Johnny aurait le temps de faire apparaitre son arme et de décrocher un tir sur la Seraph qui le tenait en joue. Mais cette idée l'énerva.

"T'as pas l'impression qu'il y ait déjà assez de sang versé? Tout ce qu'elle veut, c'est s'en aller. Tu devrais la laisser s'en aller avant qu'il n'y ai trop de morts ici."

Le marchand n’entendit absolument pas sa requête. Il fit la sourde oreille et tira sans crier gare. Le son du coup résonna aux oreilles de Lenna occultant le reste des bruits environnants. Même plusieurs secondes après, elle n’entendit que ça, choquée qu’il ait osé tiré. Ils les avaient sauvés, et maintenant ils voulaient les tuer. Quoi de plus logique ? Cette histoire de faction c’était ça, sa raison ? Il venait de devenir un ennemi par cet acte.

Ses yeux regardèrent le corps d’Origan s’effondrer avec horreur. Elle tombait parce qu’elle avait voulu la protéger. Tout cela n’était pas réel. Son bras se mit à trembler, alors qu’une haine vivace à l’encontre du marchand plantait ses graines à l’intérieur d’elle. Elle resta muette de stupeur alors qu’elle aurait dû crier le nom d’Origan. Elle darda ses prunelles pleines de rage sur David, raffermissant sa prise sur le pistolet qui visait toujours Johnny. Son talon cogna doucement contre ce qui semblait une douille et elle l’écrasa de son pied pour ne pas dévoiler son pistolet vide à son ennemi. Seul Johnny avait pu voir sa manœuvre.

D’ailleurs… Il semblait de son côté, mais si elle cessait de le menacer, une balle risquait de lui atterrir aussitôt dans la poitrine. Elle devait rester en vie, sinon Julien la suivrait depuis sa tombe encore fraîche sans tarder. Les minutes s’écoulaient à un rythme implacable, plus précis que son cœur qui battait dans tous les sens en son sein. Distraire le tueur le temps de convaincre l’allié…

Tu ne dois pas être bien croyant pour tuer des enfants. Tu ne sais pas ce qu’est la reconversion ? Elle aurait pu basculer dans ton camp. J’aurais pu basculer dans ton camp. Une alliée chez les Seraph, ça ne te serait pas utile, ça ?

Tandis qu’elle parlait, elle tourna la tête vers l’autre homme, libérant sa main droite pour s’essuyer le front qui perlait de sueur et de poussière. Elle profita de cet instant pour dissimuler son œil à la vue de l’assassin et adresser un clin d’œil à l’allié. Le chat choisit ce moment pour disparaitre aussi rapidement qu'il était apparu. Son mouvement pouvait avoir distrait un peu plus le tueur. Si avec ça, l'autre nephil n’avait toujours pas compris qu’elle ne comptait pas le tuer… Elle ne pouvait pas faire plus clair devant l’ennemi. Elle tourna son regard vers la machine de guerre.

Il a raison. C’est toi qui tue, pas moi. Remettons ça à plus tard. Je n’apporterai presque rien à ton clan. Je suis fraichement nommée.

Elle n’allait pas essayer la pitié. Il était trop sérieux pour ça. Il ne lui restait plus qu’une carte à jouer et elle aurait tout essayé du côté des mots.

Si un jour tu as cru en l’amour, ou que tu veux y croire, laisse-moi sauver le mien. Sinon il ne risque jamais de t’arriver…

Que faire d’autre que faire ? Elle pourrait lui jeter un bidon à la tête. Non pas assez forte. Prendre le haut d’une poubelle pour se protéger. Il était trop rapide. Lui jeter son arme dans la tête ? Trop risqué. Elle ne pouvait… qu’attendre que le sort veuille bien l’épargner. Elle leva les yeux vers le ciel adressant une prière muette à ce qui pouvait bien veiller sur elle.

Satisfait? Je te pensais plus sage. On t'as coupé les crocs?

Pour toute réponse à ce commentaire, Johnny répondit par un froncement de sourcils et une moue qui laissait ses dents apparaître. Puis il détourna complètement son attention du marchand d'armes. Tout ce qui comptait en l'instant présent, c'est qu'il n'avait réussi qu'à sauver une seule vie sur les deux qu'il tenta de protéger. Alors oui, ces vies-là étaient celles de Seraphs, les ennemis des Nephils, donc ses ennemis normalement. Mais si Johnny a choisi de rejoindre les Nephils, c'était pour aider les gens, pas en tuer. Juste quand il pensait que son passé d'assassin était derrière lui, le voilà rattrapé par les emmerdes, à moins que ce ne soit le karma.

Profitant d'être encore dans un Kekkaï, le Sniper se dirigea vers le corps sans vie de cette demoiselle dont il ne connaissait rien mais dont il se sentait responsable de sa mort. Il fouilla les poches, du cadavre, tomba sur son téléphone. Par chance, celui-ci n'avait pas l'air d'avoir été vérouillé par code. Il mit l'appareil au fond de sa poche avant de se relever. Puis il attendit, il attendit que l'autre Nephil présent dans ce Kekkaï rompit cette barrière qui les coupait tous les deux du monde de la réalité véritable. Sans prononcer un mot, il se tentait là, debout, prêt à partir.

Vous avez dix secondes pour quitter le Kekkaï. Je vous laisse passer à travers. Courez. Si vous faîtes un geste suspect, je vous tuerai, si vous vous retournez, je vous tuerai, et si je vous revois, je vous tuerai à la première occasion.

10… Le message était on ne peut plus clair. Son corps réagit aussitôt, faisant un quart de tour vers le mur du kekkai le plus proche.
9… Son pied glissa légèrement sur la douille qu’elle avait dissimulée à son regard, mais elle se rattrapa de justesse, s’empêchant de se retourner.
8… Elle courut à toute vitesse vers la sortie, plissant les yeux de peur de se prendre le mur en pleine face, mains en avant.
7… Elle était sortie, ouf !
6… Julien ! Vite ! Elle accéléra son rythme de course, sentant qu’elle commençait déjà à s’essoufler. Pistolet se balançant au bout de son bras gauche. Bras droit sur son épaule gauche qui la lance.
5… Elle est désormais loin d’eux, elle bifurque pour rejoindre un quartier potable.
4… Ses pas résonnent sur le béton. Tout son corps tremble.
3… Elle ralentit sa course, continuant de marcher à vitesse rapide.
2… Le bout de la rue, là.
1… Un dernier effort.

0… Sauvée.

+5min – Montée dans le taxi en direction du cimetière.
15min – Arrivée devant le cimetière. La montre tourne… Tic, tac, tic, tac, tic, tic, tic.
15min43 – Arrivée devant la plaque de la tombe. Elle n’a adressé aucun regard au reste du monde.
17min13 – Elle tente de défoncer la plaque à coup de pied, de mains, de coude. Julien !! Des bruits étouffés lui parviennent de l’autre côté.
19min25 – Elle a trouvé un extincteur et cogne sur les vis de la plaque, cogne jusqu’à ce que…
23min35 – …la pierre cède.

Sauvé.

L’homme plein de poussières sort de sa cage. Ils s’entourent avec force, corps contre corps, bras entre bras. Ils se serrent le plus possible l’un contre l’autre. Les explications viendront plus tard. Il y a toujours le temps pour les paroles. Pas pour deux cœurs qui battent miraculeusement.

Final.

[Lenna quitte le RP]

Sitôt que le Kekkaï fut rompu, le Sniper se mis en route et quitta les lieux sans une parole. Il prit la route du Quartier Nord, afin de rentrer chez lui. Sur le chemin du retour, il sortit le portable de la Lolita de sa poche, et vérifia l'historique des appels et des messages. Il écrivit un SMS qu'il envoya aux cinq derniers numéros contactés: "Monsieur, ou Madame, je suis au regret de vous annoncer le decès de la propriétaire de ce numéro, une fille aux cheveux verts, aux yeux verts aussi, et à l'air innocent, dont je ne connais cependant pas le nom. Je vous prie d'accepter toutes mes condoléances. Signé: un inconnu qui a fait ce qu'il a pu pour empêcher ça."

Sur le chemin, Johnny profita d'un feu de poubelle, sans allumé par quelques SDFs, pour y jetter le téléphone portable, afin d'éviter les ennuis. Maintenant, il ne lui restait plus qu'une dernière chose à faire: comprendre ce que signifiait ce clin d'oeil de la part de la femme qui le tenait en joue.