Balade tranquille, j’embêtais personne, j'étais ni agressive ni dérangeante. J'étais amicale et même que j'avais rien volé de la journée. Sans même comprendre ce qu'il m'est arrivé, je suis à moitié assommée par ce qui semble être une attaque venue de l'espace. J'aurais bien donné des coups de griffes, mais le choc fait que je végète dans la fourgonnette. J'arrive au milieu d'une meute de chat assoiffé de mon corps. Pourquoi est-ce que je n'attire que des chats et pas l'homme que j'aimerais...

Je peux pas me permettre de tous casser, ça serait trop idiot. Donc pour le moment, je vais juste me concentrer à repousser mes prétendants. Je feule et sors les griffes, violemment. Si ils s'approchent trop, je vais finir par leur couper la queue....

Comment faire maintenant pour sortir... Il me faudrait chopper le regard d'un pauvre humain victime, qui sera séduit et me sauvera...

La visite s'entama donc, à la recherche de notre félin Seraph. Si je peux supporter un chat, je dois avouer douter pouvoir en supporter plusieurs. Surtout qu'en rentrant dans la grande salle où était entreposée les animaux en cages, pour une raison qui m'est totalement inconnue, les chiens se mirent à aboyer et à essayer de passer la barrière de leur cage.

"...Qu'est-ce qu'ils ont ?" Demandais-je, légèrement surprise par un tel déchaînement de violence.

" Je ne sais pas, c'est étrange. Ils étaient tous calmes, ce matin. Et je ne pense qu'ils ont faim..."

C'est étrange, en effet. Je ne pense pas avoir le don d'excité les chiens. Ma foi, tant qu'ils sont en cages, cela m'est quelque peu égal. Je viens juste pour récupérer un chat. Par ailleurs, mon regard se perd vers une cage en particulière, contenant un oiseau. Je crois qu'il s'agit d'un pingouin..? Je ne pourrais dire, peut-être un manchot, les animaux n'ont jamais vraiment été mon domaine.

"Les chats sont..."

"Ouaaf ! Ouaf !"

L'aboiement des chiens m'empêchent de bien capter les paroles de mon guide. Diantre... Encore combien de temps devrais-je supporter cela ? La Seraph que je vais secourir à intérêt d'être très redevable.

"Les cages... Sont elles vraiment résistantes ?" Fis-je alors que je voyais l'une d'entre elles commencer à dangereusement bouger sous le poids d'un chien.

Malheureusement, mon interlocutrice me fit comprendre qu'elle n'avait pas entendu ma question.

J'entends du bruit à côté, des chiens qui aboie! Une diversion? Je vais peut-être pouvoir m'en sortir. Je griffe une des sales bêtes attirées par moi et ça énerve tout le monde je crois. J'en profite pour m'attaquer à la cage avec mes dents, attaquant tel une folle ce que je pouvais... Et je me fais mal.

Derrière moi, la meute de chat semble se mettre d'accord de me mettre une raclée. C'est mal partit. Il va falloir que je me batte. Je feule et me met dos à la cage, prête à en découdre.

En même temps, tout le monde, enfin tous les animaux, semblent s'agiter dans la pièce où je suis. Les autres cages à chat s'agitent, des oiseaux piaillent. Ca commence gentiment à être le bordel.

Je sentais que la situation commençait à dégénérer doucement. Finalement la première cage d'un chien céda, et la bête se mit à courir vers moi avant de me bondir dessus. Est-ce la chose qu'on appelle Karma qui me vient m'accueillir ? Parce que j'ai tué un chien au cours de ma vie ? Je l'ignore mais, je fais un pas de côté rapide pour éviter l'animal. Voilà qui est embêtant, si d'autres cages cèdent...

Mes craintes se révélèrent bien assez tôt. Tandis que ma guide s'embêtait à ramener le chien dans sa cage, d'autres bêtes parvint à briser leur chaîne. Le visage crispé, je me mis à courir en direction d'une porte proche avant de la fermer. J'entendais les chiens tenté de passer la porte mais fort heureusement, cette dernière semblait plus solide que leur cage. Un soupir plus tard, je me retrouve là où sont les chats. Démangeaison, éternuement et tout la panoplie d'allergie s'en suit.

Diantre, aujourd'hui est bien mon jour de veine. Mais bon, pour ce petit soucis, je m'y attendais. J'observe les cages aux alentours, envoyant alors un message télépathique vers le chat qui devrait un Seraph.

*Marguerite ? C'est Aria Lake, je suis venu te délivrer.*

En espérant qu'elle m'est entendu, je cherche du regard la Seraph parmi les cages contenant des chats.

Je sens la cage derrière moi se fragiliser, mais peut-être pas assez vite pour me permettre de fuir avant de devoir me battre. Je peux quand même pas taillader les chatons à coups de griffes de quelques centimètres... Je vais devoir me battre 'à la loyale'. Je donne quelques coups de griffes, mais la meute de chat continue de s'approcher, me pressant de plus en plus. Et en voilà un qui tente de me griffer, mais heureusement ce n'est que rater. Je sais à quel point les chats peuvent être fourbes. Face à eux, La violence est un écosystème. Un équilibre à moitié clos, incertain, qui a besoin d'un oxygène particulier, et d'une spirale de conditions particulières. Il suffit d'un trop plein d'attaque, et l'équilibre est bousculé et la bagarre s'arrête. Il me suffit de me jeter au cou d'un et ...

Je sursaute quand j'entends une femme rentrer, éternuer puis, vraisemblablement me parler. Je me tourner et un chat profite pour me sauter dessus. La porte derrière moi craque et je sens le sol disparaitre sous mes pieds. Tout ce que je vois, c'est le sol dur s'approcher dangereusem- TOC

Ma tête la première cogne violemment contre le sol. Je vois trouble. Tout ce que je vois, c'est une femme éternuant et derrière elle, une ombre étrange. Je me rélève et avance mollement vers Aria et je lui souris

-"Tu sais, Aria, que pendant des années je n'ai eu q'un seul rêve, c'était comme des ailes qui me permettaient de voler au dessus de la bataille" dis-je en titubant. Bon dieu j'ai mal à la tête "... Mais j'ai volé trop près du soleil et je n'ai plus d'ailes, je ne suis plus que moi, un oiseau qui ne peux plus voler, un pingouin"

Je me met à pleurnicher. Pourquoi tu ne veux pas que je sois ton pinguin Howard! Avec toi, on volerait toujours proche du soleil, tu es mon soleil... Mais tu es trop occupé avec des femmes peu respectable... Tu sais, Howard, comme je te l'ai promis, Nous allons regagner Paris sur mon tapis volant, côte à côte, et les étoiles nous guideront !. Les étoiles dans tes yeux mèneront une carte magique vers la cité de l'amour où on vivra heureux toi et moi. J'arrive!

Je m’affale aux pieds d'Aria, pleurnichant alors que les chat sortent de leur cage pour en finir avec moi. Monde cruel!

Mes yeux sont embués, j'ai la tête qui tourne et une facheuse envie de vomir. Pourquoi le monde est si cruel... Pourquoi. Je suis une gentille fille, je suis drôle et je sais que je suis attirante. J'ai certe pas les cheveux colorés ou un style de junkie, mais je suis jolie...

Je regarde Aria, en ayant de la peine à me concentrer sur ce qu'elle dit. Je sais pas si c'est ma chute, mais je ne comprends pas un mot de ce qu'elle me raconte... Mais je crois qu'elle me complimente, en me disant que je suis une Héros? Que je suis rare et exceptionnelle.

- "Pas assez exceptionnelle pour Howard..." dis-je en m'essuyant les yeux

Les chats derrières nous ont été repoussés, il nous reste encore à passer la porte derrière laquelle, une émeute canine semble être en marche. J'ai un frisson le long de ma colonne en imaginant ce qui risque de se passer... Mais je crois que je préfère faire face à des chiens trop joueurs plutôt qu'à des chats trop violents. Je regarde à nouveau Aria, j'aimerais beaucoup grimper dans ses bras mais je crois qu'elle ne fait qu'éternuer par ma faute.

- "D'accord, mais je sais pas si je pourrais trop manger... Je me sens..."

Un autre haut le coeur me prend, mais j'arrive à maintenir mon petit repas dans l'estomac... Oulala, je veux pas vomir... J'avance alors, toujours un peu titubante, en direction de la porte.

Difficile de savoir si mon récit à fait mouche chez la Seraph chat, mais pour l'instant, l'heure n'était pas vraiment d'en tirer des conclusions. Par ailleurs je reste relativement surprise en entendant le nom d'Howard venant de la bouche/gueule de la féline. Pardon ? Je ne suis pas certaine de comprendre..? Il faut croire que Marguerite avait un faible pour notre commandant... Ma foi, j'aimerai beaucoup l'encourager à ce sujet, mais je crains que ma toux m'en empêche ainsi que le brouhaha causé par les chiens derrière cette porte. Mais pourquoi ces derniers sont ils si excités ?  Il est vrai que j'ai tué, par le passé, l'un de leur compère, mais je doute que cela soit la raison pour une telle férocité de leur part...

"J'imagine que le meilleur moyen est encore de..." Toussotais-je avant de terminer ma phrase.

Disparaître allais-je dire. Il est vrai qu'en soi, j'aurais pu faire cela dés le début. Un chat qui disparait d'une cage, ça n'a rien d'extra-ordinaire. Je ne suis même pas sûre qu'il compte le nombre d'animal qu'ils attrapent. Mais passons, cela aurait été un pari risqué. Maintenant, inutile de passer par cette porte où des chiens nous attendent. Il doit bien avoir une autre entrée, car après tout, c'est la loi d'avoir deux moyens de sortir. En cas d'incendie, si une entrée est bloquée, alors on peut emprunter l'autre... Malheureusement de ce que je vois, l'autre sortie était bloquée par des cages.

"Je vais dégager ces cages... Essaie d'éloigner ces chats de moi jusqu'à ce que j'ai terminé."

Je vois Aria qui semble réfléchir profondément, et qui semble aussi sur le point de crever. La pauvre, elle me fait de la peine... Je suis son regard : une sortie de secours, plus ou moins, qui est bloquée par une tonne de cage, probablement pour entasser le plus de chose possible. Quel respect des lois...

- "Compte sur moi! Je peux battre des chats"

Je met mets dos à Aria et feule, miaule et donne des coups de pattes préventif. Je suis encore mollassonne, ayant de la peine à me concentrer, mais ces chats sont bien moins pire que des Ombres. Par ailleurs, je fais de mon mieux pour leur communiquer ma colère et mon envie qu'il parte. C'est mieux que rien. J'espère qu'Aria s'en sort.

Je griffe, méchamment, un matou tigré qui recule. Victoire, on a un peu gagné de temps.

La porte cède derrière et voila une meute de chien enragée qui fonce vers nous... Honnêtement, ils ont plus l'air de vouloir jouer, mais ils vont 3 à 4 fois ma taille, au minimum! Je vois aussi un chat se faire envoyer d'un coup de pied, elle en a dans les dents Aria!

Mais l'arrivée des chiens sème la panique parmi les chats qui ne savent plus si ils veulent se venger sur moi ou s'en prendre au chien. Prit entre deux feux, ils décident plutôt de couvrir leurs arrières et déjà, ils s'attaquent au museau des chiens qui, pour certains partent en pleurant, mais d'autre... Ils montrent les crocs... Aie, ca va pas être joli.

Je fonce vers Aria et me débrouille pour pousser et tirer des caisses. J'en ai pas l'air, mais j'ai la même force qu'avant!

Une fois dehors, mes nausées vont mieux et je vois bien droit à nouveau. Je regarde Aria et lui sourit, elle a du bien souffrir à cause de moi.

- "J'ai pas eu de chance, mais merci infiniment de m'avoir sauvé. J'aurais préféré éviter devoir attirer l'attention sur moi en détruisant la cage"

Bon et bien, maintenant c'est l'heure du repas? Je me demande bien où elle va m'inviter. Car malgré tout, ça creuse pas mal de se battre. Je sursaute à sa question, me remémorant mes moments pitoyables de tout à l'heure.

- "Oh et bien... Je... Oui... Je le connais bien... Je... Est-ce qu'il serait possible de.. garder ma déclaration pour Howard que entre vous et moi? Je vous en serai infiniment reconnaissante..."

Si elle raconte cela trop loin, je serais pathétique et jamais Howard ne verra la femme forte et indépendant qui semble l'attirer

Il m'est très difficile de savoir ce que mon interlocutrice ressent. Mais le ton de ma voix me guide tout de même vers ce que je dois en penser. Elle semble honnête, ni plus ni moins. Je ne doute pas une seule seconde cependant, que même sans mon intervention, elle serait parvenue à s'en sortir. Mais tâchons de ne pas penser négativement en soumettant que mon action n'était pas utile.

Tout d'abord, je l'écoute, elle souhaite que je n'ébruite pas ses sentiments pour le beau commandant. Diantre, que devrais-je faire ?

"Bien sûr, peut-être même pourrais-je vous aider ?" Fis-je après une toux et un sourire.

Quoique je ne crois pas que notre commandant soit dans la zoophilie. Mais qui sait ? Peut-être qu'il a des goûts particuliers ? Quoique l'image m'horripile, donc arrêtons nous là. Puis, je commence à marcher vers ma voiture, qui est à l'opposé du bâtiment. Il faudra donc faire le tour. Je ne pense pas que les employés de la fourrières vont venir nous déranger. Après tout, ils ont beaucoup de travail.

"Je me demandais... Que lui trouvez vous ?"

Howard est populaire auprès de la gente féminine, mais il est vrai que par manque de connaissance sur le sujet, ou peut-être une trop grande connaissance ? Je peine à en comprendre la raison. J'imagine que son joli minois y est pour beaucoup ? Je dois admettre qu'il est très craquant de côté là.

M'aider? Je suis plutôt surprise qu'on me propose pas. Je dois probablement avoir l'air ridicule, si jeune et pourtant fixée sur un idée. Mais je dois avouer que sa proposition me plait beaucoup. Et sa seconde phrase me fait encore plus plaisir! Ca veut dire qu'elle n'est pas intéressée par Howard.

- "Je ne sais pas si je peux accepter votre aide... mais je l'accepte. Merci beaucoup. Quant à ce qu'il me plait chez lui, c'est... difficile à décrire"

Il y a tant et si peu à dire. C'est vrai que je connais mal la vie intime et privée d'Howard, je respecte ses barrières, mais tout ce que je sais de lui m'a plut. Bien sûr, ce n'a pas été l'amour au premier regard, surtout pas quand je n'étais qu'un chat. Mais maintenant que je peux redevenir humaine, je crois que ça a réveillé quelque chose.

- "Tout d'abord, son physique. Je plaide coupable, mais son look mauvais garçon un peu mystérieux me fait fondre... Et puis, d'un autre côté, il n'a pas du tout le caractère d'un bad boy. C'est un mec doux comme tout, qui ne juge jamais les gens et qui m'a accueilli aussi chaleureusement que possible compte tenu mon apparence. Il a tout de suite été proche" dis-je, en marchant tranquillement, profitant qu'on ait encore un bout de marche pour parler "Mais je sais que ça ne sera pas facile. Je pense pas que je sois son type de fille. Je sais que je suis plutôt jolie, mais mon apparence n'est pas du goût de tout le monde. Pas mal d'homme préfère des femmes plus sportive dans le corps"

Ca fait du bien d'en parler!

Oh je vois, un classique. Une jeune fille persécutée qui tombe éperdument amoureuse du prince charmant qui lui a tendu la main. Sauf qu'ici, nous parlons d'un chat. Et que cette dernière semble se comparer à une humaine. J'ose croire au vu de l'intellectuel de mon interlocutrice qu'elle ne semble pas se croire dans une illusion où elle serait une jeune fille. Ce qui signifie, qu'elle doit pouvoir se transformer en humaine...

"Je vois... D'ailleurs, je pense que vous l'avez noté, mais je suis allergique aux chats, si vous pouviez par quelques moyens que ce soit, reprendre une apparence humaine... Je vous en serais fort redevable." Fis-je en éternuant.

J'observe les environs, nous voilà proche de ma voiture. Il semblerait également que le lieu soit relativement vide. J'aimerai autant éviter avoir des restes de ma source d'allergie dans mon véhicule. Je n'ai pas envie de devoir chercher chaque poil et il y a lui...

" Pour tout avouer, je ne pensais pas prendre autant de temps pour venir vous récupérer..." Fis-je, en pressant mon pas.

J'ai laissé un Alexander endormi, à l'ombre, j'ai bien pensé le prendre avec moi, mais le réveiller me brisait le cœur, et ce n'est pas comme si je me rendais dans le lieu le plus sain au monde. Je dois réellement me trouver une nourrice... Et alors que je songeais à cela, je vois des chiens parvenir à forcer la porte par laquelle nous étions sorties, pour nous courir après... Je crois que je rêve ?

J'ai vu juste, elle est allergique aux chats. La pauvre, ça a du être une sacré souffrance de venir me délivrer. Je lui suis 2 fois plus reconnaissante. Malheureusement, je ne vais pas pouvoir l'aider.

- "Je peux retrouver ma forme originelle un jour, tout les 3 jours. Il doit me rester encore quelque chose comme une dizaine d'heure avant de débloquer cette capacité à nouveau. Si on était dans un Kekkai, ça serait différent"

C'est plutôt handicapant, mais je m'en sors plutôt bien. Ça donne un petit côté conte féerique à ma vie, et tout le monde est compréhensif. Mais on quitte la sureté des ruelles et je ne vais plus trop pouvoir parler.

- "Je vais devoir bientôt me taire pour ne pas évoquer de soupsçon, mais je suis désolée de vous avoir prit autant de temps. Au pire, je peux me débrouiller depuis maintenant, pas besoin de faire ce soir le repas"

Je vais pas torturer mon héroïne quand même. Et là, je vais pouvoir payer ma dette. Je me retourne, telle une vétéran de guerre proche de son dernier combat pour sauver sa compagnie

- "Courez Aria, je les retiens!"

C'est plus pour la forme qu'autre chose, je ne peux que servir de diversion...

Je miaule, je feule puis, dès que j'entends le bruit de la voiture, je pars en détalant. Bien entendu, les chiens courent après moi comme des dératés. Mais je suis plus intelligente qu'eux. Rapidement, je fais un saut pour me mettre hors de leur portée sur un petit muret et avance plus paisiblement alors que j'entends leurs aboiement en dessous de moi. Je grimpe sur un petit batiment et je me pose, soulagée d'en avoir fini.

Aria va peut-être m'aider, j'en suis heureuse. J'ai par ailleurs oublié de lui donner mon numéro. Mais on pourra sans problème se retrouver au QG. En attendant, je pense que je vais faire une petite sieste bien au chaud et surtout tranquille, loin de tout agent de fourrière un brin trop zélé. Peut-être que je devrais penser à m'acheter un collier? Brr... L'idée me fait frissonner de dégout.

Je m'étire, me pose tranquillement et attend tranquillement que le temps passe. Je réfléchis et me détend. Quelle sacré journée

[Ce fut un plaisir ]