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 [Agence Blake] Ouverture d'une agence de détective.[Terminé]
MessageSujet: [Agence Blake] Ouverture d'une agence de détective.[Terminé]   [Agence Blake] Ouverture d'une agence de détective.[Terminé] Icon_minitimeJeu 14 Mai 2015 - 12:55
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Russel Blake
Russel Blake - N-Elu
Description de L'agence Blake.:

Alors qu'une odeur riche en alcool attaquait ses narines, Russel accrochait une pancarte sur sa porte dont le contenu signifiait qu'il ouvrait les portes de son agence. Il avait au préalable collé des affiches un peu partout dans le quartier pour informer de l'ouverture de son bureau. Il savait que dans un premier temps, se faire connaître était une priorité. Une fois que des clients seront venues, le bouche à oreille fera son travail naturellement. Pour un détective, le bouche à oreille est le meilleur moyen de se faire une clientèle. Mais pour l'instant, il était inconnu.

Il rentra dans son agence, se fit un café avant de s'asseoir derrière son bureau. Il passa du regard la pièce où il allait accueillir ses futurs clients. Les murs étaient de couleur bois, des fenêtres mal-en-point éclairaient la pièce depuis deux murs opposés. Un canapé à deux places et un fauteuil étaient séparés par une table basse. Le fauteuil était pour lui, et le canapé pour ses clients. En général, un client ne vient pas seul, intimidé, ils demandent généralement à un proche de les accompagner, d'où le canapé. Pour une raison de confort, une cafetière était nécessaire, offrir un café était le meilleur moyen de détendre l'atmosphère. Il avait également prit soin de préparer un bâton d'encens dont la fumée était suffisamment loin pour ne pas gêner les clients.
Il prit une carte de la ville en main, et repéra les zones d'influences. Il lui fallait des relations dans ces zones en particulier. Étant nouveau en ville, son carnet d'adresse était vierge, il n'avait aucun informateur donc prendre des requêtes complexes n'étaient pas envisageable pour le moment.

Il va sans dire qu'au delà de la capacité à raisonner du détective, ce sont surtout les informations qu'il peut obtenir qui sont importants. Trouver un informateur n'est jamais facile, il faut qu'il soit de confiance, qu'il accepte de coopérer en échange d'une somme d'argent, mais surtout, qu'ils détiennent les bonnes informations.
C'était l'une des raisons pour laquelle Russel avait choisi ce quartier. Des gens qui vendent des informations, ça ne manquait pas les rues dans cet endroit appauvri. Le problème restait les deux autres points, confiance et bonne information. Au niveau de la confiance, il n'avait pas d'autre choix que de compter en sa capacité à discerner les gens. Il avait une certaine assurance quant à sa compétence à extraire la nature des gens. Tout d'abord leurs physiques, notamment l'aspect vestimentaire, puis leurs manières de s'exprimer et enfin leurs tics. C'était le meilleur moyen de savoir si la personne était de confiance ou non. En ce qui concerne les bonnes informations, on ne peut malheureusement les juger que lorsqu'on les obtient. C'était donc une sorte de pari quand on paye pour les avoir.

Bien qu'il avait confiance en cette capacité de discernement, il ne pouvait s'ôter de l'esprit le cas de Maria. Il avait complètement échoué à déceler sa vraie nature alors qu'il s'agissait de sa propre sœur. Encore aujourd'hui, il doute de ce qu'il a entendu dans cet enregistrement. Il lui arrive de l'écouter de temps en temps, espérant trouver des indices. Les propos dits semblaient sortir d'une délirante, une image complètement différente de Maria ressortait. Pour Russel, ça n'avait aucun sens, peu importe le nombre de fois qu'il l'écoutait. Il chercha dans sa poche la photo de sa sœur qu'il prit pour la regarder. Ce n'était pas par sentimentalisme qu'il avait cette photo, c'était simplement le seul moyen qu'il avait de la retrouver. Il était venu dans cette ville pour ça et rien d'autre. Abandonnant son travail, ses amis juste pour la retrouver. Il ne pouvait pas accepter cette Maria tant qu'il ne la verrait pas en chair et en os.

Il laissa échapper un soupir, avant de réévaluer sa carte. Il chercha les bars, café et autres endroits où les gens se rassemblaient. A défaut de ne pas avoir d'informateur pour le moment, les endroits de loisirs lui offriraient une bonne alternative. Suivant l'information, il n'aurait peut-être même pas besoin de payer, ce qui était avantageux lorsque l'on commence à travailler.

Il avait maintenant deux alternatives: chercher des clients ou trouver des informations sur Maria. Il cogita un moment, le temps de finir son café. Alors qu'il s'apprêtait à quitter son office, s'habillant de son manteau, quelqu'un frappa à sa porte. Il sourcilla, étonné, avant de se diriger vers celle-ci pour l'ouvrir. Il ne pensait pas qu'un client viendrait aussi tôt.


-------------------------

Russel se dirigea vers la porte. Les frappements sur celle-ci étaient énergiques sans être fort. Disons que la personne derrière cognait avec entrain mais ne semblait pas posséder une grande force. Il pensa intuitivement à une jeune fille enjouée, limite excité à bloc. Pour une raison inconnue, il hésita à ouvrir la porte. Quelque chose lui disait fortement que ce qui se trouvait derrière celle-ci allait l'ennuyer au plus haut point. Il ferma les yeux, se prépara psychologiquement, grinça des dents. Puis, il ouvrit doucement la porte, laissant un léger espace. A partir de cet espace, il jeta un rapide coup d’œil. La personne derrière la porte fit de même. Russel baissa les yeux, cette personne les haussa, leurs yeux se rencontrèrent. Doucement, le teint de Russel prit une tournure pâle, voir blanc. Son futur interlocuteur quand à lui prit une couleur tomate telle une princesse qui venait de retrouver son prince charmant, un grand sourire parcourant son visage enfantin. Un grand cri aiguë se fit entendre.

« - RUSSEL NI-SAMA!!!!! »

Instinctivement, Russel ferma la porte à vitesse grand V, puis posa son dos avec fermeté sur celle-ci. Un véritable cauchemar venait de se produire. En anglais, a true nightmare, dans tout les cas, la chose derrière cette porte était un démon incarné. Quelque chose qu'on ne doit pas croiser, quelque chose qu'on ne doit pas voir, quelque chose qu'on doit ignorer de toutes ses forces. D'une voix tremblante, il formula espérant expier le démon loin de lui.

« - Ru...ssel ? Ah ah ah, c'est.. C'est une erreur.. Oui une erreur, personne du nom de Russel ici. Yep, personne. »

Après un bref silence, une voix féminine se fit entendre de nouveau.

« - Mmh, pourtant, c'est marqué Agence du détective Russel Blake sur la porte... »

Mais quel idiot, pourquoi avait-il mit son prénom ? Son nom suffisait amplement ! Avec simplement son nom de marqué, il y avait encore un espoir pour s'en débarrasser, de trouver une excuse ! Ou pas. Russel sentit son cœur battre de plus en plus fort. La fille derrière cette porte se prénommait Liz. Elle avait 19 ans mais en semblait 14  physiquement et 10 mentalement. Elle était atteinte d'une grosse maladie incurable actuellement. C'était une fan incontestée du japon et surtout des bandes dessinées pour fille qui sortaient là bas. Pour tout dire elle avait même appris la langue. Elle mettait des mots japonais dans la majorité de ses phrases, en mettant un ton bien lolita. Juste lui parler était une véritable source d’embarras. Non, juste la voir, il pouvait sentir ses joues se colorer de rouge. Son style vestimentaire était ce que portait les poupées. Une robe en dentelle, de couleur nacre, un haut de même couleur qui s'accordait avec la robe, mais le pire restait la couronne qu'elle portait, une fausse couronne évidemment qui a des allures de princesse du temps de la Renaissance.

Comment, cette idiote avait-elle put le trouver ? Il pensa alors à son ancien collègue, Mickaël, il prit son téléphone, composa avec ses doigts tremblant son numéro, du fait de ses doigts tremblant, il loupa une première fois le numéro, il recommença... une dizaine de fois avant d'achever son objectif. Une voix se fit alors entendre.


« - Oh Russel, déjà dans le pétrin ? »
« - Ah ah ah, le pétrin ? C'est pire que ça, l'enfer lui-même est venu me voir, je suis fini, j'ai aucune chance de réussir dans ma vie, mon agence n'aura jamais aucun client, je suis foutu. Une chose horrible se trouve sur le pallier de ma nouvelle agence, ça crie mon nom. »
« - Dit pas ça voyons, c'est juste une jolie petite fille qui est venu te rendre visite, tu l'aurais vu avec ses yeux bleus, presque en larme, qui nous demandait où tu étais, impossible de résister, promis. Pff. »


Mickaël contenait son rire tant bien que mal. Une subite colère prit le dessus sur Russel. C'était lui ! Cet enfl***, ce vaurien. C'était pour se venger de lui avoir laissé une montagne de travail après son départ, c'est ça ? Il n'y avait que cette raison qui pouvait expliquer une action aussi ignoble de sa part.


« - Mickaël, je suis désolé de t'avoir laissé tout ce travail, néanmoins, je pense que ta revanche est légèrement exagéré. Non, Carrément en fait !!! »
« - Tss, Calme toi, Maria était la tutrice de Liz, peut-être qu'elle a des indices, qui sait ? J'ai pensé à toi en donnant ton adresse, crois moi, je le jure sur mon feuilleton préféré du dimanche. »

Pourquoi, alors qu'il était au téléphone, il avait une image de Mickaël se curant le nez ?

En tant normal, lorsqu'une personne disparaît sans laisser de trace en ayant commis un crime. La police prend des mesures. Néanmoins, Russel n'avait pas fait passer l'enregistrement où Maria affirmait avoir tué ses parents. Russel a juste dit au commissariat que Maria avait disparu de son plein gré et qu'il voulait la rechercher. En somme, l'affaire passait pour une querelle entre frère et sœur aux yeux de l'autorité. Autant dire qu'aucun dossier n'a été ouvert sur le sujet donc pas d'investigation.

Pour en revenir sur le problème actuelle, Mickaël entendait aussi les cris de la jeune fille. Il dit d'un ton amusé.


« - T'es sûr que c'est ok de la laisser sur le pallier de ta porte à crier ton nom ? Je veux dire, les gens risquent de penser que tu as des goûts étranges. C'est pas bon pour avoir des clients, tu sais. »


*C'est qui le premier à me l'avoir envoyé !*

Néanmoins, Mickaël avait raison. Il ne pouvait pas la laisser plus longtemps faire ce boucan devant son agence. Il respira profondément, reprit son calme petit à petit. Il remercia ironiquement Mickaël avant de raccrocher

« - Je te rendrais cette faveur un jour. »

Une nouvelle fois, il respira profondément, se préparant psychologiquement. Il tourna la poignée de sa porte. Avec un grand sourire hypocrite, il accueilli son invité.

« - Ah c'est toi Liz, je ne t'avais pas reconnu, ah ah ah. »
« - 兄ー様たら、鈍感だから。 »

Sans comprendre un traître mot de ce qu'elle venait de dire, il ria nerveusement tout en l'invitant à rentrer, le plus RAPIDEMENT possible.

------------------------

Après avoir invité Liz à rentrer, celle-ci ne se fit pas attendre ajoutant un mot japonais incompréhensible pour Russel en rentrant. Elle se précipita et observa les lieux d'un bref coup d’œil puis s'installa sur le canapé tout en s'exclamant.

« -ここはルッセル兄様の住んでいる場所ですね。素敵です!(C'est ici que vit Russel. C'est merveilleux)»

Russel laissa un soupir s'échapper. Cette fille ne prenait pas en compte ses interlocuteurs. Pour être plus précis, elle ne se souciait absolument pas si les gens qui l'entourait la comprenait ou pas. Quel était le but de communiquer si personne ne vous comprenait ? Le langage était une forme importante de communication et parler une langue étrangère n'aidait en rien dans la compréhension. Il se dirigea vers son fauteuil, s'assit puis observa Liz avant de l'interroger.


« - Pourquoi est-ce que tu es ici ? »
A ceci elle répondu spontanément.
« -兄様に会いに来ました、決まってるじゃないですか?(c'est évident que je suis venu te voir !?) » 

Russel soupira désespérément. A ce stade, nul autre choix que de la reprendre. S'il ne la comprenait pas, la conversation n'allait pas avancer.


« - Liz, je pense que tu le sais, mais tout le monde n'a pas appris le japonais. Ici c'est les États-Unis, parle anglais. »

Elle ne voulait certainement pas de mal. En soi, parler une langue que personne ne comprend pouvait apporter un sentiment de supériorité. On pouvait insulter quelqu'un directement sans que celui-ci comprenne. On pouvait également avoir des informations disponible que dans cette langue étrangère. Le dernier cas était le seul point réellement positif que Russel pouvait penser.

« -Ah désolé, つい。。。 Je suis simplement venu te voir. J'étais inquiète tu es parti subitement sans donner de nouvelle. C'est vraiment cruel de ta part ! »

Il a connu Liz par la biais de Maria. Une enquête s'est produit chez elle. Une histoire de chambre close, c'est à partir de là que Liz est devenu proche de Russel. Néanmoins ce sentiment était loin d'être réciproque. Mais ce ne serait que trop cruelle que de le lui dire. Il décida donc d'utiliser l'option ignorer. Cependant, Liz ne semblait pas mesurer le sens de cette option. Dans tout les cas Russel semblait bien ennuyer.


« - Tu ferais bien de rentrer. Tes parents doivent s’inquiéter. » lâcha Russel, ayant un brin d'espoir que cela suffirait à la renvoyer chez elle.

« - Qu'est-ce que tu racontes, j'ai 19 ans. Je suis donc majeure et en droit de faire ce que je veux sans l'accord de mes parents. Je les ai prévenue que je partais te voir. Ils ont donné leur accord ! »


*T'en fais 14, et quand tu ouvres la bouche 10, de plus pourquoi tu leur demandes leur accord si tu es majeure.*

Russel répondit par la pensée très fortement, mais peu importe à quel point il pensait fortement, aucun moyen que la personne en face de lui le comprenne. Il soupira, devenant une habitude au point où il en était. Tant qu'à faire autant lui demander ce qu'elle sait.

« - Maria a disparu. Si tu sais quoique ce soit à ce propos, je veux bien t'écouter avant de te renvoyer chez toi. »

Liz prit un air pensif, mettant un doigt sur son menton et levant les yeux. Une simple comédie si vous demandiez Russel. Il n'attendait pas grand chose de sa part, et il savait que la seule chose qui parcourait son crâne était un trou noir.

« - Mmh...そうだね。。。しらんよ? (mmh...Voyons...J'en sais rien ?) »


Il se leva de son canapé, s'approcha de Liz, l'air menaçant, préparant un poing qu'il administra de façon significative sur le crâne de Liz. Alors qu'elle exprimait sa douleur, Russel « s'excusa ».

« - Oh désolé, ça m'a échappé, je n'ai pas compris, par frustration mon poing ta cogné semble-t-il. Mes excuses les plus sincères. »

« - 酷いよ。(Tu es horrible) J'ai aucune idée où Maria-onee-chan est, sniff. »


En soi, il n'était pas surprit. Il ne s'attendait pas à avoir un indice venant d'elle. Mais bon comme on dit, qui ne tente n'a rien. Liz était une personne qu'il pouvait gérer si personne n'était autour. Avec un public, il aurait du mal à la frapper sans passer pour un bourreau d'enfant ou une personne cruelle. Le physique de Liz était vraiment une plaie pour ça.


« - Je vois... Tu peux rentrer à présent. Dois-je t'accompagner à la sortie ? »
« - Y a qu'une pièce, pas besoin de m'accompagner. »

Effectivement, il n'y avait qu'une pièce, d'où le prix du loyer qui était bas. Mais il n'en fallait guère plus pour Russel. Elle poursuivit semblant réfuter ce qu'elle venait de dire.

« - って違うう!ルッセル兄様の手伝いをさせて来ていたんです!(C'est pas ça ! je suis venu t'aider!) »

Russel d'un air las prépara son poing. Avant que celui-ci n'atteigne le crâne de sa victime, elle se corrigea.

« - Attends !! Je voulais dire que je suis venu t'aider. En tant qu'assistante !!! »

Le jeune détective regarda Liz, avec un air surpris. Celle-ci répondait à son regard avec des yeux qui étaient les plus déterminés qu'elle pouvait produire. Plusieurs choses parcoururent les pensées de Russel. Dans un premier temps, son besoin d'un(e) assistant(e) qui se chargerait de prendre les requêtes par téléphone puis de noter les détails. Dans un deuxième temps, à Liz, sa personnalité, son aspect extérieur, son historique. Un sourire froid apparut sur le visage de Russel avant qu'il ne lâche...

« - Pas moyen, rentre chez toi ! »

Il se prépara à la frapper, de peur elle se précipita vers la sortie, avant de partir, elle cria de toutes ses forces.

« - Je reste à un hôtel à proximité si tu as besoin de moi, appelle moi ! »


Sur ses mots, elle s'en alla, rapidement...très rapidement. La voyant s'en aller Russel souffla de soulagement tout en pensant.


*Le jour où j'aurais besoin de toi, j'aurais vraiment touché le fond... ah ah ah.*

Maintenant que son invité surprise était parti, il pouvait reprendre ses activités. C'est à dire, rechercher un informateur ou bien l'endroit où logeait Maria. Les deux pouvaient se rejoindre en soi, mais trouver une personne qui connaît l'adresse de chaque personne emménageant à Palema n'était pas donné. En somme, un long travail s'annonçait devant lui. Il y avait aussi la possibilité qu'un vrai client lui demande ses services...Dans tout les cas, ce n'était pas son genre d'attendre dans son bureau à ne rien faire. Si un client avait besoin de lui, il pouvait toujours le contacter à partir de son portable. Il s'en alla donc pour visiter le quartier sud.


Dernière édition par Russel Blake le Mer 20 Mai 2015 - 20:24, édité 5 fois
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