Bon, j'arrivais pas à dormir, cette nature de Seraph et bien embêtante. Il est 2H30 et j'ai que ça à faire d'aller courir un peu ça me détend toujours, le footing c'est génial tu vois la ville sous tous ses angles, tu peux visité plein d'endroit différent. Et cerise sur le gâteau avec un peu de chance tu fais des rencontres pas banal si tu es curieux. Je m’équipe de mon précieux bonnet, un tee-shirt, un sweat et un jogging et c'est parti.
J'avais décidé ce soir de me balader à l’extérieur de la ville. Bibi m'avait dit que la casse était un lieu vachement intéressant, plein de voiture des super vieux model.

Enfin arrivé dans cette fameuse casse, j'allume ma lampe torche. Plein de model différent. C'est génial, je commence à monter sur les piles de voitures et je saute de voiture en voiture pour me déplacer. J'aperçois une lumière assez faible au nord de la casse, bien caché en tous cas. Qui ça peut bien être, bien envie d'aller voir ! Je continue de sauter de voiture en voiture. Mais sauts sont stoppé par une grande pile de voiture environ 3/4 mètre, plus qu'a l'escalader parce que la contourné c'est trop mainstream et arriver par les airs c'est plus classe !

C'est pas si facile l'escalade mais j'y suis enfin arrivé. Bon pas envie de voir a quoi ressemble les homme qui parle depuis tous à l'heure. Ça sera une surprise. Sur c'est belle paro...pensée, sautons ! YOLOOOOOO!!!
J’atterris sans trop de problème dans un gros nuage de poussière, ma main gauche sur ma capuche et ma main droite entrain de saluer les gens devant moi. La poussière me cacher encore mes nouveaux amis ! Mais les mots sortais deja.

-Bien le bonsoir !

Pas de témoins ? De quoi? Comment ça? Que passa? Le nuage de fumer commencer à disparaître et je pouvais apercevoir 4 mec me pointer avec des 9mm. Quoi ils sont prêt à me tuer mais dans quoi je me suis encore fourré, ça pouvais pas juste être des junkie ? Bon pas le chois, pas envie de me faire canarder.
Je sort de l’écran de fumé, je fonce sur le premier type, une droite en plein visage qui le fait voltiger. Il ce relèveras pas. Le type juste à coté me tire une balle dans l’épaule.

-Dommage c'est inutile contre moi !

Sur ces belles paroles, d'un uppercut j’éjecte le second. Les 2 autres effrayé me tire leur chargeur dessus. Les 3/4 de leurs balles me passe à coté.

-Les gars, ce genre de calibre n'a aucun effet sur moi...

-Sale monstre.

Il commence à me foncer dessus avec son couteau ou je rêve? Arrivé au CàC, je lui attrape le poignée et d'un simple geste de la main je le lui brise. Un crie de douleur aiguë résonne dans la casse, il tombe à genou mais pas le temps de ce remettre de ces esprits, que mon coude vien percuter sa nuque. Son corps s’écrase contre le sol. Le dernier type tétanisée, me fixe comme si j’étais le grand méchant loup. Je fais un pas vers lui. Pas le temps de sortir ma punchline qu'il prend les jambe à son coup. Le patron lui me regarde, essayant d’évaluer la situation...

-Tu veux de l'argent? T'es qui?

De l'argent ? Pas besoin ! Son accent et typiquement français. Bah ok, on va lui parlais français au type

-Salut désoler mon accent est pourrie. Je suis Batman et j'ai juste soif de justice ! Prépare toi... JUSTICE PUNCH !

Merde je lui es cassé 2 dent je crois. Bon tant pis. Les autres aussi on morflé. Attend elle est ou la fille? Mais y un de ces sbires qui l'embarque ! Bon il à même pas fait 15 mètre. Il crois vraiment pouvoir m’échapper avec une femme sur ses épaules?
D'un sprint je le rattrape, je dégaine mon flingue et lui pose sur la tempe.

-Pose la fille, ton flingue et casse toi...

Le mec ne posa pas plus de question. Le salaire de l'Homme valait moins que sa vie, apparemment. Bon bah voila, une jeune femme en plus de sauver à rajouter à la liste.
Ils l'ont bien amoché... Bon je l'es installé du mieux que je pouvais. J'ai rien pour lui faire les premiers soins. Mais j'ai ma bouteille d'eau qui par chance à pas était troué comme mon corps.
Avec mon tee-shirt j'essuie son sang, et j'essaye de faire boire la jeune femme. Et d'une vois chaleureuse j'essaye de l'as réveiller.

-Mademoiselle, mademoiselle...

La femme a une silhouette assez fine, ni trop grande ni trop petite. Mais c'est surtout ses yeux et ses cheveux violet qui attire le regard.

Bouteilledeau !!! NONNNNNNNNN ! Je t'aimais, on avez vécu tellement de chose ensemble... Mais tu es vidé de ton eau, tu es... tu es mort maintenant... Adieu.
Bon Bref concentrons nous sur miss jaidesmafieuxaucul. Bon apparemment elle est juste sonné mais elle va bien.

-Ouai je l'es es pas tous fait fuir, y en a encore 2, 3 qui font dodo ! Attend, j'ai risqué ma vie? moi? Heu ouai si vous le dite...

HA OUI LEO SOUVIENS TOI ! Un homme normalement constitué qui se prend 10 balle dans le corps crève... M'ouai en tous cas j'allais devoir encore racheté des vêtements. Je passe plus de temps à acheté des vêtements qu'a sauvé l'humanité, j'te jure. Je suis bien curieux qu'es ce que c'est mafieux lui voulais? Mais bon je vais pas la saouler avec mes questions. Je prend mon souris le plus réconfortant et essaye de lui expliquer que tous vas pour le mieux dans le meilleur des mondes.

-Je vous es rapidement ausculté, vous avez rien de grave, a part votre blessure à la tête mais c'est juste un gros bobo. Vous voulez que j'appel un taxi, la police? Je peux aussi vous raccompagnez si vous voulez.

Pa..pas...la...poli...ce. Okey J'ai comprit, pas la police. Je suis pas un shaker pas besoin de me secouer, je vais pas vomir un cocktail à ce que je sache. Putain elle essaye de ce lever mais elle titube comme une étudiante rentrant de boite après une bonne grosse cuite. Oula trop de question à la fois je commence à être perdu. Je pensais que mon regard incompréhension allez lui faire comprendre qu'elle m'avait perdu mais apparemment elle s'en foutait complètement. Elle chope mon tee-shirt et me precise un truc que j'avais pas remarquer... Qu'il était foutu merci captaine obvious ! et y pas que ça. QUOI CONTRACTANTS ? Comme elle sait ça? Bon elle ma paumé.
Je commence à éclater de rire, j'en pouvais plus cette fille est beaucoup trop directe. Je commence à enlevée mon tee-shirt et mon sweet, je hais quand le sang me colle à la peau. Et je commence à prendre la parole.

-T'es plutôt drôle comme fille, rarement vu des aussi directe. Mais tu devrais éviter de parler de contractant aussi vite, l y en as des ... extrêmes. Et donc comment connais tu notre existences? Et ne t’inquiète pas je sais comment rentrer.

J'avais pas à m’inquiéter c'étais juste une humaine un peu excentrique, a qui on avait dit la vérité.

M'ouai aucun humain ne peut faire du chantage à un contractant à part peut être le president. Du coup, elle ne veut pas m'en parler... J'aimerais bien la laisser partir mais malheureusement j'ai des obligation. Une guerre est une guerre. Si des infos elle a, elle devra me les donner. Restons gentil pour l'instant, je serais un peu plus rude si elle ne répond pas.

-Je te repose la question, qui ta parlé des contractants ? Leurs noms et leurs nature seraph ou nephil? Dit toi que tu as une chance sur deux pour que je te laisse tranquille. Enfin faut t'il encore que les noms que tu me donnes soit cohérent, je te préviens je connais tous les seraphs et nephils de la ville. Sauf les nouveau d'il y a quelques jours. Mais on sait tous deux que ce n'est pas eux qui t'en on parlé.

Je la toise du regard, attendant un réponse clair et précise. Même si j'ai menti, ça elle ne le sait pas et ne peut donc pas inventer des noms à part si elle est suicidaire. Et si jamais elle essayer de s’enfuir, je n'aurais qu'a déclencher un kekkai.

M'ouai elle a pas tord et puis c'est pas comme si elle avait des info' super importante, les nephils sont pas idiot. En tous cas elle a du culot, c'est bien de pas ce laisser intimider mais j'en connais qui lui aurait foutu une bonne correction. Je me rapproche d'elle, je la fixe du regard et d'un ton sec je répond à ses insolentes paroles.

-Je salut ton audace mais si tu n'as pas envie que je te rattache à ta chaise soit moins insolente.

Puis mes menaces proféré j’éclate de rire, jouer le méchant ça ne me va pas du tout.

-Ecoute c'est bon tu ne me dois rien, je t'es juste sauvé de 5, 6 mafieux armée je fais ça tous les jours. De toute façons tu n'auras aucune information à me donner. Je vais te raccompagner chez toi, tu me raconteras pour quoi tu es poursuivis par la mafia française. Sinon je me présente Léonardo Zeit, seraph.

Son père à l'air d'avoir de l'argent j'ai du mal à cerné pour quoi elle a quitté son pays clandestinement, sans doute la liberté et l'envie d'aventure. Et un père qui l'a couvait un peu trop. Enfin bref c'est histoire, je m'en tape un peu. Les histoires de contractant et son jolie minois sont plus intéressant enfin bon.

-Pas banal ton histoire, et pour ce genre d'incident t'arrive toujours a trouver quelqu'un pour te sauver? Non parce que sauver d'une petite brute y a pas mal de gens qui peuvent le faire mais de 5 mec armé ça devient plus complexe.

Je la regarde fixement pendant qu'elle m'explique qu'elle sait tous mais qu'elle a pas les inconvénients... Alors la je suis perdu j'ai jamais entendu de cas comme ça, j'en suis bouche bée.

-Tu en sais normalement suffisamment pour te faire attaquer par une ombre mais bon, je dois encore ignorer certaine chose sur les humains normaux. Enfin bref je te porte ou tu peux marché toute seul miss?

Je lui donne mon bras sans hésitation, et commence à me diriger vers Palema.
Moi blessé ? J’hésite entre lui répondre "Tous le temps" ou "Jamais". En tous cas son sourire et devenu plus amical, il lui en faut peu pour faire confiance.

-T’inquiète pas j'ai l'habitude de sauver les princesses et encore plus de prendre des coups. C'est pas une dizaine de balles de 9mm qui vont m’arrêter.

Je jette quelques coup d’œil au cas, deux trois débile nous avait suivis mais apparemment, mon petit tour de force les avait fait décamper. Bon parlons de ce qui m’intéresse.

-Ton père est important? Patron d'une mafia, grand politicien? Et pour quoi c'étais des mafieux français y en a quasiment pas sur Palema.

J'avais peut être poser trop de question a la fois. Dans son état j’espère qu'elle a tous suivis, je hais me répéter.